La banque est solide et très bien capitalisée, avec un bilan très liquide et une gestion conservatrice des investissements. Leur ratio de fonds propres est plus de deux fois supérieur aux exigences réglementaires et ils ne possèdent pas de dette extérieure. Lombard Odier gère CHF 358 milliards d'actifs pour le compte de ses clients au 31 décembre 2021.
Dix convictions d'investissement pour 2025, Par Michael Strobaek, Global CIO Private Bank et Dr. Nannette Hechler-Fayd'herbe, Responsable stratégie d'investissement, durabilité et recherche, CIO EMEA chez Lombard Odier.
2024 a été une année supérieure à la moyenne en matière de performance des portefeuilles multi-actifs. La toile de fond économique devrait rester positive en 2025, avec une poursuite de la désinflation et de la baisse des taux par les banques centrales. Pour autant, les perspectives de taux d'intérêt et de croissance divergeront d'une économie à l'autre, rendant essentielle une gestion active.
La multipolarité du monde contraint toujours les pays à se concentrer sur leurs intérêts nationaux. Aux États-Unis, la nouvelle administration Trump sera visible avant tout dans les politiques commerciales, énergétiques, industrielles, fiscales et étrangères. Elle entend renforcer les dépenses publiques et d'investissement.
Les taux d'intérêt à échéance courte baisseront et les rendements des instruments du marché monétaire seront plus faibles. Cela sera particulièrement le cas en Suisse, où nous prévoyons une baisse des taux directeurs à 0,25%. Les investisseurs mondiaux devront déployer leurs capitaux de manière sélective et gérer activement leurs portefeuilles.
Sur le plan obligataire, nous conservons notre préférence pour les obligations d'entreprise, qui offriront des rendements plus élevés que les obligations gouvernementales. Ces dernières seront confrontées à un accroissement des déficits budgétaires et de la dette publique, ce qui entraînera une volatilité des rendements. Nous nous concentrons donc sur les pays où la pression haussière sur les rendements obligataires nous paraît la plus limitée, notamment l'Allemagne et le Royaume-Uni.
Du côté des marchés boursiers, les perspectives bénéficiaires sont solides, mais les valorisations déjà très élevées. Là où les multiples semblent plus attractifs, les projections de bénéfices sont moins alléchantes. Aux États-Unis, la déréglementation et les baisses d'impôts devraient prolonger l'exceptionnalisme de l'économie et des marchés actions. Les droits de douane pèseront sur la croissance des autres pays. Parmi les marchés développés non-américains, notre préférence va aux actions japonaises. Sur les marchés émergents, nous privilégions les actions coréennes et taïwanaises.
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