France : La bourse de Paris, qui a timidement repris 0,5% depuis le début de la semaine, devrait rester peu changée vendredi matin dans l'attente de la première estimation de croissance du PIB américain au 4ème trimestre.
Vers 8h15, le contrat à terme sur l'indice CAC 40 -livraison février - cède 1,5 point à 4863 points, annonçant un début de séance en léger repli.
Hier, le marché parisien avait réussi à se hisser jusque vers 4901 points sans que les échanges ne s'accompagnent d'un gonflement des volumes témoignant d'un fort appétit pour le risque.
Au final, le CAC cédait 0,2%.
Si l'impression générale est que les gestionnaires se contentent d'investir sans réelle conviction, le biais haussier semble avoir repris le dessus avec comme prochain objectif le retracement des 4925/4930 points du tout début janvier, estiment les chartistes.
Suisse : La bourse suisse devrait entamer la séance de mercredi sur une note positive, prolongeant la tendance haussière bien qu'à un rythme plus modéré.
La bourse suisse a entamé la séance de vendredi sur une note proche de l'équilibre.
A en croire les courtiers, le vent qui a gonflé les voiles boursières au cours de cette semaine est en train de s'essouffler, comme on a pu le constater la veille à wall street, dont l'indice phare Dow Jones a certes bouclé à un niveau record, mais sur une très faible progression.
En Suisse, le titre UBS était rudoyé dans les premiers échanges après la publication de son dernier partiel, malgré des signes avant-bourses positifs.
Les marchés manquent pour l'heure d'impulsions susceptibles de stimuler l'appétit du risque, estiment les observateurs.
Certaines pourraient provenir d'outre-Atlantique avec les chiffres de la croissance étasunienne au 4e trimestre attendus dans l'après-midi.
A l'agenda figurent également les entrées de commandes US ainsi que la confiance des consommateurs (Uni Michigan).
Deux entreprises du portefeuille de la société de participations HBM Healthcare Investments (HBM), la suisse Obseva et la californienne Anaptys Biosciences, ont fait leur premiers pas au nasdaq.
Etats-Unis : Banque des puissants et symbole des excès de la finance, Goldman Sachs est de nouveau la cible du mécontentement des anti-wall street, qui reprochent à Donald Trump d'accueillir dans son gouvernement trop de caciques de l'institution.
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