Synapses reçoit Christian Parisot, président de Altaïr Economics. Au menu de cette nouvelle émission le comportement assez déroutant de la bourse dans le contexte présent.
Après le trou d’air consécutif à la déconfiture de plusieurs banques américaines dont la SVB, les marchés actions sont de nouveau en orbite, à l’instar d’un CAC40 qui vole de record en record. Après être tombé à 6?885,71 points le 15 mars dernier, l’indice phare de la place parisienne s’est hissé à 7?577,00 points à la clôture en date du 21 avril, soit une hausse de plus de 10 % en un peu plus d’un mois. Paradoxalement, les investisseurs professionnels font état d’un pessimisme profond face à des perspectives économiques qu’ils jugent mal orientées.
Cette angoisse des opérateurs quant à la détérioration prochaine de la conjoncture économique ressort dans toutes enquêtes réalisées auprès d’eux. Elle se traduit en outre dans leurs choix sectoriels puisqu’ils surpondèrent significativement les secteurs défensifs au détriment des valeurs cycliques.
La bourse monte par conséquent grâce à la surperformance des défensives.
Selon Christian Parisot, il y a là un paradoxe qui mérite d’être pris en considération.
Le Président d’Altaïr Economics nous livre son analyse au sujet des facteurs qui influencent cette tendance, tout en revenant sur les risques et opportunités qui se présentent aux investisseurs qu’ils soient déjà investis ou qu’ils souhaitent se réexposer aux marchés boursiers.
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