France : La bourse de Paris a ouvert sans direction ( 0,10%) vendredi matin, les investisseurs temporisant à l'orée d'une séance qui sera notamment marquée par le rapport mensuel sur l'emploi aux Etats-Unis, tout en gardant un œil sur le Brexit et les négociations commerciales sino-américaines.
A 09H00, l'indice CAC 40 prenait 5,54 points à 5,469,34 points.
La veille, il avait fini proche de l'équilibre (-0,09%).
Aujourd’hui, nous serons attentifs aux données macroéconomiques en provenance des Etats-Unis.
Et pour cause, après le rapport ADP (emplois américains), c’est un autre rapport majeur qui est attendu, à savoir le rapport NFP.
D’autres données économiques d’importance majeure seront publiées (taux de chômage, croissance des salaires…).
Temps forts de ce vendredi
- Rapport NFP (emplois américains), à 14h30
- Croissance des salaires aux Etats-Unis pour le mois de mars, à 14h30
- Taux de chômage américain pour le mois de mars, à 14h30
Zone euro : Les principales bourses européennes sont attendues sans grand changement vendredi à l'ouverture, la prudence devant limiter les prises de risques en attendant le rapport mensuel sur l'emploi
américain.
Japon : La bourse de Tokyo a fini en hausse vendredi, portée par les espoirs d'accord commercial entre les Etats-Unis et la Chine.
L'indice nikkei a gagné 0,38% à 21,807,50 points, après avoir touché en séance un plus haut d'un mois à 21,839,18.
Le Topix, plus large, a pris 0,35% à 1,625,75 points.
Chine : Les marchés financiers chinois sont fermés ce vendredi pour cause de jour férié USA : Après près d'un an de dégradations des relations commerciales sino-américaines et des semaines de pourparlers, les marchés sont accrochés à l'espoir d'une solution concrète entre les deux plus grandes puissances économiques du monde.
Si l'optimisme reste de mise, l'absence d'avancée réelle freine les investisseurs dans leur prise de risque et ce d'autant que les gains sont déjà conséquents depuis le 1er janvier ( 15% pour le cac40).
Donald Trump, a fixé une nouvelle échéance jeudi, déclarant que Washington et Pékin étaient très proches d'un accord, et évoquant un délai de quatre semaines environ pour aboutir.
Il a aussi prévenu Pékin qu'un échec des négociations pourrait signifier la fin des échanges commerciaux entre les deux pays.
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