France : Les acheteurs reprennent la main, le cac40 est repassé en 2 heures de -0,1% à 0,5% (4,985) et l'Euro-Stoxx50 de 0,00% à 0,7% (à 3,413Pts, grâce à madrid qui s'envole de 1,7%.
est-ce 'l'effet Barcelone/PSG' qui restaure la confiance ?) : il semblerait que les indices suivent la remontée assez franche du cours de l'Euro vers 1,061 contre $, Mario Draghi réaffirmant que l'euro est irréversible et n'a pas besoin d'être défendu.
La réunion de la BCE s'achève par ailleurs sans surprise (donc 'bonne surprise' ?): les taux sont maintenus inchangés, la réduction du 'QE' de 80 à 60MdsE est confirmée, la BCE maintient sa stratégie et ne décèle pas de renforcement des pressions inflationnistes, l'objectif est cependant révisé à 1,7% contre 1,3%, la croissance relevée de 1,7 à 1,8%.
Les acheteurs ont repris la main, rien de spectaculaire mais le cac40 ( 0,4% à 4,981) est repassé au-dessus des 4,980Pts (après une culmination à 4,989 en intraday) et l'Euro-Stoxx50 ( 0,6%) refranchit la barre des 3,400, à 3,410Pts au final (grâce à Madrid qui s'envole de 1,5%.
Zone euro : Les principales bourses européennes évoluent en baisse à mi-séance, affectées par la chute des valeurs liées aux matières premières et dans l'attente de la décision de politique monétaire de la Banque .
Les bourses européennes ont fini jeudi en hausse, à l'exception de Londres, soutenues par le maintien d'une politique accommodante de la part de la banque centrale européenne (BCE).
Etats-Unis : Principales valeurs à suivre jeudi à wall street.
* AMERICAN INTERNATIONAL GROUP -Le directeur général de l'assureur, Peter Hancock, a annoncé jeudi sa démission, ce dont s'est félicité l'investisseur activiste Carl Icahn, qui plaide depuis longtemps pour une scission du groupe.
Le titre gagnait 2,1% dans les transactions en avant-bourse à 64,76 dollars.
PPG INDUSTRIES - Le néerlandais Akzo Nobel a annoncé jeudi avoir rejeté une offre d'achat hostile de PPG le valorisant environ 21 milliards d'euros, jugeant qu'elle le sous-évaluait.
PPG a réaffirmé de son côté croire à la pertinence d'un rapprochement.
EXXON MOBIL a annoncé jeudi le rachat à l'italien Eni de 25% d'un champ gazier au large du Mozambique pour 2,8 milliards de dollars en numéraire.
La bourse de New York devrait ouvrir sur un mode attentiste jeudi matin, à la veille de l'annonce des chiffres mensuels de l'emploi qui devraient aider à faire le point sur la santé de l'économie américaine.
Une demi-heure avant l'ouverture, les contrats à terme sur les grands indices new-yorkais abandonnent pas loin de 0,1%, annonçant un début de séance prudent.
Si la perspective d'une hausse des taux de la Fed le 15 mars est désormais devenue une quasi-certitude pour les investisseurs, le rapport mensuel sur l'emploi - toujours très surveillé par les marchés - leur permettra d'y voir plus clair sur le calendrier à venir.
Le Département américain du Travail a rapporté ce matin avoir comptabilisé 243,000 nouveaux inscrits hebdomadaires au chômage lors de la semaine close le 4 mars, soit une augmentation de 20.
La bourse de New York a débuté sur une note prudente jeudi à la veille des chiffres mensuels de l'emploi aux Etats-Unis et sur fond de recul marqué des cours du pétrole.
Après trois journées consécutives de baisse, les acheteurs reprennent progressivement la main jeudi à New York, la faiblesse du dollar contrebalançant la chute du pétrole.
Suisse : La bourse suisse demeurait maussade jeudi à la mi-journée, handicapée par ses poids lourds ainsi que par les valeurs du luxe.
La bourse suisse a terminé sur une note légèrement positive.
La prudence était de mise pour les investisseurs, avant les décisions de la banque centrale européenne (BCE), mais surtout, avant les statistiques de l'emploi américain vendredi, critère crucial pour l'appréciation de la stratégie à venir de la réserve fédérale américaine (Fed).
Comme largement prévu, la BCE a maintenu inchangé le cours de sa politique monétaire très interventionniste, faisant ainsi fi des appels à lever le pied après une accélération de l'inflation européenne.
Elle n'a touché ni à ses taux directeurs, à leur plus bas niveau historique depuis mars 2016, ni à son vaste programme de rachats de dettes, le 'QE', lancé en mars 2015.
A New York, wall street montait légèrement en début de séance, l'attentisme dominant face à la chute des cours du pétrole et à la veille de l'emploi américain.
'La faiblesse actuelle des prix du pétrole est perçue comme négative pour l'humeur du marché', a mis en avant Patrick O'Hare de Briefing dans une note.
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