Etats-Unis : Les banques de wall street ne prévoient que deux hausses des taux aux Etats-Unis cette année et jugent limité le risque que la Réserve fédérale adopte un rythme de resserrement monétaire plus soutenu.
Wall street a clôturé en hausse vendredi, dopée par une solide statistique de l'emploi et par le secteur bancaire.
L'indice Dow Jones a pris 186,55 points à 20,071,46 points.
wall street a monté vendredi après des chiffres bien accueillis sur l'emploi américain, qui lui ont redonné de l'élan à l'issue d'une semaine pour le reste incertaine: le Dow Jones a pris 0,94% et le nasdaq 0,54%.
Donald Trump a donné officiellement -et concrètement-le coup d'envoi de la dérégulation ce vendredi.
et wall street adore çà.
Les indices US ont effacé en quelques heures l'intégralité de leurs pertes du début de la semaine : le nasdaq grimpe de 0,55 et inscrit un nouveau record absolu de séance.
Zone euro : Les marchés ont bien résisté cette semaine, mais la prudence est de mise.
En dépit d’un agenda politique qui semble de plus en plus troublé, les marchés financiers américains ont fait preuve d’une belle résistance sur la semaine écoulée, aidés par une saison des résultats qui a vu une large majorité de surprises positives, par une banque centrale qui a décidé de ne pas bouger à son taux directeur, et par de très bons chiffres pour l'emploi.
L'indice Dow Jones a continué d'osciller autour de la barre des 20 000 points, sans toutefois s'en détacher nettement.
Cette bonne résistance a permis aux bourses européennes de bien se comporter, avec des performances hebdomadaires stables à légèrement positives, notamment pour l'indice Bel 20.
Incertitudes Pour autant, de nombreux gestionnaires de fonds sont aujourd'hui en train d'adopter une posture plus prudente sur les actions américaines, notamment en raison des incertitudes concernant l'agenda économique du président américain.
Selon les données d'une étude de Merrill Lynch, les investisseurs se sont plutôt rués sur les fonds obligataires durant la première semaine de Donald Trump à la tête des Etats-Unis (avec plus de 8,5 milliards de dollars de nouvelles souscriptions vers des fonds indexés sur l'inflation ou vers la dette d'entreprise à haut rendement) tandis que les flux nets en direction des fonds en actions ont été faméliques.
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