La bourse de New York a terminé en ordre dispersé mercredi, semblant marquer un temps d'arrêt au lendemain d'une séance où de nouveaux records ont été franchis.
Les actions américaines terminent sans grande tendance
wall street a fermé ses portes mercredi, après qu'un rapport de Reuters eut déclaré que le président Donald Trump ne rencontrera pas le dirigeant chinois Xi Jinping pour signer un accord commercial avant décembre, mettant en garde contre la possibilité que les deux parties ne parviennent pas à un accord.
Du côté de l'entreprise, HP a bondi de plus de 10 % après qu'un rapport de CNBC a déclaré que Xerox a fait une offre en espèces et en actions pour l'entreprise.
Pendant ce temps, l'EVC a augmenté après avoir dépassé les prévisions de bénéfices du marché au troisième trimestre.
L'indice Dow Jones a gagné 0,07 point à 27 492,56, le S§P-500, plus large, a pris 2,16 points, soit 0,07%, à 3 076,78, le nasdaq composite a reculé de son côté de 24,05 points (-0,29%) à 8 410,63 points.
Paris : inscrit de nouveaux sommets, les banques en soutien
La bourse de Paris ( 0,34%) a bénéficié d'un petit de coup de pouce de 0,12% au 'fixing' et en termine à 5866, non loin de son zénith du jour (et zénith annuel) inscrit à 5876Pts.
Le cac40 poursuit son inexorable ascension et le cac40 'GR' a pulvérisé un record à plus de 15,945Pts et affiche désormais 28% sur l'année 2019 (alors que la croissance et les profits des entreprises se contractent), une performance jamais observée sur aucun marché depuis le krach de 1929.
Dans l'actualité des valeurs, Société Générale ( 3,4%) publie au titre du troisième trimestre 2019 un résultat net part du groupe de 854 millions d'euros, en baisse de 34,8%, et un résultat brut d'exploitation sous-jacent de 1,666 millions, en recul de 22,7%.
mais le marché salue une remontée de la rentabilité des fonds propres à 12,5% contre 12% auparavant.
La Société Générale entraîne BNP-Paribas et Crédit Agricole dans son sillage avec 1,5% en moyenne.
La Française des Jeux (FDJ) pourrait être valorisée jusqu'à 3,8 milliards d'euros dans le cadre de son introduction en bourse programmée pour le 21 novembre, peut-on lire dans le prospectus de l'opération mis en ligne mercredi soir.
Premier actionnaire de la loterie nationale avec 72% du capital, l'Etat français, pourrait engranger entre 1,2 et 1,7 milliard d'euros, en ramenant sa part à 20%.
Au terme d'une série de présentations aux investisseurs qui ont affiché leur appétit pour la loterie nationale, la fourchette de prix a été établie entre 16,50 et 19,90 euros, valorisant la loterie nationale entre 3,15 et 3,8 milliards d'euros, au-dessus d'estimations initiales.
16,50 à 19,90 euros l'action: c'est le prix qu'il faudra débourser pour participer à la privatisation de la Française des Jeux, a annoncé mercredi le ministre de l’Économie Bruno Le Maire, à la veille de l'ouverture de la période de souscription.
L’État prévoit de céder 52% du capital (sur un total de 72% aujourd'hui) et 'sur cette cession, nous sommes prêts à en réserver jusqu'à un tiers aux particuliers', a-t-il précisé dans un entretien au Parisien.
Il a également indiqué que le gouvernement avait fixé à 200 euros le seuil minimum de souscription.
0 Commentaire