Investing.com -Les bourses européennes étaient en forme ce jeudi matin, malgré des performances régionales mitigées, sur fond de persistance des rumeurs de prolongeent des apports de capiatux de la Réserve Fédérale.
En première partie de séance locale, l‘EURO STOXX 50 progressait de 0,66%, le CAC 40 franà§ais de 0,31%, et le DAX 30 allemand de 0,57%.
Les autorités de l‘Espagne avaient auparavant fait savoir que son taux de chômage avaient connu une érosion depuis 26,3 vers 26,0% pour le troisième trimestre, au lieu des 26,1% espérés.
Le groupe de recherches économiques Markit avait auparavant fait savoir que l‘évaluation préliminaire de l‘indice des directeurs des achats du secteur secondaire franà§ais s‘était rétracté depuis les 49,8 définitifs de septembre vers 49,4, au lieu d‘atteindre les 50,1 qui semblaient probables.
Son équivalent tertiaire a suivi le màªme chemin, depuis les 51,0 précédents vers 50,2, alors qu‘un sursaut à 51,3 était espéré.
L‘équivalent allemand du premier est par contre sans surprise remonté depuis 51,1 vers 51,5 dans le màªme temps.
Celui du second a cependant subi déconvenue des 53,7 de septembre jusqu‘à 52,3, tandis que 53,9 étaient attendus.
La contre-performance du marché de l‘emploi américain mise en évidence en début de semaine semblait quand à elle renforcer les probabilités que la Réserve Fédérale repousse la fermeture du robinet de ses injections de liquidités jusqu‘à ce que l‘année prochaine soit bien avancée.
La finance avait le sourire, la Deutsche Bank allemande empochant 0,40%, suivie des franà§ais BNP Paribas et Société Générale avec respectivement 1,81 et 1,66%.
Il en était de màªme à la périphérie, les espagnols Banco Santander et BBVA encaissant 0,22 et 0,54%, les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit leur emboà®tant le pas avec 1,03 et 1,90%.
Le constructeur d‘automobiles de luxe Daimler accélérait de 2,37% après avoir revendiqué des bénéfices avant intéràªt et impôts bondissant de 16% entre début juillet et fin septembre, pour s‘élever à 2,23 milliards d‘euros, dépassant ainsi les prédictions.
A Londres, le FTSE 100 conquérait 0,34%, les établissements bancaires de Grande-Bretagne suivant majoritairement le chemin tracé par leurs homologues continentaux.
Barclays grimpait ainsi de 0,89%, la Royal Bank of Scotland de 1,43% et Lloyds Banking de 1,77%, tandis que HSBC holdings décevait cependant avec un faux pas de 0,14%.
Les entreprises spécialisées dans les matières premières allaient dans le màªme sense, les mastodontes miniers Glencore Xstrata et Rio Tinto amassant 0,76 et 0,36%, leur rival Fresnillo n‘étant pas en reste avec 1,36%.
Les perspectives des marchés américains étaient toutefois optimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0,39%, celles sur le S&P 500 l‘estimant à 0,44% et celles sur le nasdaq 100 à 0,45%.
Il avait d‘autre part été montré à l‘aubre que la première lecture de l‘indice manufacturier établi par la banque HSBC pour octobre ait gonflé depuis 50,2 vers 50,9 pour octobre, son plus haut niveau en sept mois, alors qu‘un sursaut à seulement 50,5 était espéré.
Cette belle performance allait à l‘encontre du spectre planant sur l‘économie de la Chine, au lendemain du frisson ayant parcouru les marchés suite aux rumeurs selon lesquelles sa banque centrale durcirait sa politique monétaire afin de mettre un frein à l‘inflation.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté rendre aujourd‘hui leur décompte hebdomadaire des nouvelles inscriptions au chômage, le solde de leur commerce extérieur ainsi que le volume des ventes de logements neufs.
Investing.com -Investing.com offre une grande variété d'outils professionnels pour le forex, les Matières Premières, les futures et la bourse, dont des informations alimentées en temps réel en streaming, un calendrier économique détaillé, des actualités financières ainsi que des analyses techniques et fondamentales proposées par nos experts internes.
0 Commentaire