Macro economie : france, le déficit commercial se creuse plus que prévu

France : Le déficit des opérations courantes de la France s'est creusé à 1,3 milliard d'euros en mars 2019, après une révision à la baisse de 0,6 milliard d'euros le mois précédent et par rapport à un écart de 0,97 milliard d'euros convenu par le marché.

L'écart des échanges de biens s'est creusé, passant de 3,2 milliards d'euros un mois plus tôt à 4,5 milliards d'euros, et l'excédent des revenus primaires s'est légèrement réduit, passant de 4,9 milliards d'euros à 4,8 milliards.

Entre-temps, l'excédent des services est passé de 1,4 milliard à 2,1 milliards d'euros et l'écart de revenu secondaire est resté inchangé à 3,8 milliards d'euros.

L'écart commercial avec la France se creuse plus que prévu en mars

Le déficit commercial de la France s'est creusé à 5,3 milliards d'euros en mars, contre 4,1 milliards en février, en raison d'une forte hausse des importations, ont rapporté mardi les douanes.

En effet, le déficit commercial de la France s'est creusé à 5,3 milliards d'euros en mars 2019, après une révision à la hausse de 4,1 milliards d'euros le mois précédent, contre un écart de 4,5 milliards attendu par le marché.

Les exportations ont augmenté de 1,1 % d'un mois à l'autre et les importations ont augmenté à un rythme plus rapide de 3,6 %.

Allemagne : Les commandes industrielles allemandes ont augmenté de 0,6 % d'un mois à l'autre en mars 2019, après une baisse révisée à la baisse de 4,0 % le mois précédent, mais inférieure aux attentes du marché, avec une hausse de 1,5 %.

Il s'agit de la première hausse mensuelle des commandes des usines depuis décembre de l'année dernière, principalement soutenue par une croissance de 4,2 % des commandes étrangères, les entrées de commandes provenant de la zone euro (8,6 %) et des pays tiers (1,4 %).

Pendant ce temps, les commandes intérieures ont diminué de 4,2 %.

Par catégorie, les entrées de commandes ont augmenté pour les biens de consommation (6,4 %) et les biens d'équipement (1,1 %), tandis qu'elles ont diminué pour les biens intermédiaires (-1,5 %).