Zone euro : Dans la zone euro, le taux de chômage corrigé des variations saisonnières s'est établi à 9,8% en octobre, en baisse par rapport au taux de 9,9% enregistré le mois précédent et à celui de 10,6% d'octobre 2015.
Le taux de chômage de la zone euro est tombé sous le seuil symbolique des 10%, une nouvelle qui tombe à point dans une Europe en proie au doute, même si son niveau reste supérieur à celui d'avant la crise de 2007-2008.
Les prix à la production ont bien plus augmenté que prévu en octobre, et dans une proportion sans précédent depuis août 2012, montrent les données publiées vendredi par eurostat, un bon point pour une banque centrale européenne (BCE) qui peine à relancer l'inflation.
L'agence de statistique de l'Union européenne précise que les prix à la production ont augmenté de 0,8% d'un mois sur l'autre, alors que les économistes interrogés par Reuters attendaient une hausse limitée à 0,2%.
Sur un an, ils ont baissé de 0,4% alors que les économistes attendaient une baisse de 1,0%.
Les prix de l'énergie ont augmenté de 2,6%, progression la plus notable des composantes de l'indice PPI, dont toutes ont progressé sauf une.
La baisse en glissement annuel est la plus faible depuis juillet 2013 et celle des prix de l'énergie s'est limitée à 1,5%.
Le taux de chômage dans la zone euro est tombé à 9,8% en octobre, après 9,9% (chiffre révisé) en septembre, sous le seuil symbolique des 10%, a annoncé jeudi eurostat, l'office européen des statistiques.
La hausse des prix sur un an s’affiche à 0,6 % en novembre, son plus haut niveau depuis avril 2014.
Pour le deuxième mois consécutif, le chômage en zone euro se situe en dessous du seuil symbolique des 10 %.
Les Premiers ministres sociaux-démocrates tchèque et slovaque ont plaidé pour un rapprochement du niveau de vie entre l'Ouest et l'Est de l'Europe et mis en garde contre la montée de partis 'antisystème', lors d'un congrès du Parti socialiste européen (PSE), vendredi à Prague.
'En tant que social-démocrate tchèque, je vois nos priorités dans le renforcement de la convergence du niveau de vie et dans le rapprochement des salaires en Occident, dans le centre et dans l'Est de l'Europe', a affirmé le Premier ministre tchèque, Bohuslav Sobotka.
'C'est un sujet d'actualité aujourd'hui en République tchèque', a-t-il rappelé, devant les journalistes.
En début de semaine, M.
Sobotka avait appelé le géant néerlando-belge de la distribution Ahold Delhaize à augmenter les salaires de ses employés tchèques.
La Commission met en place des procédures TVA harmonisées.
La grande conférence de financement qui s’est tenue à Tunis les 29 et 30novembre a permis de mobiliser près de 14milliards d’euros.
Reste à mettre en œuvre les projets concrets qui remettront la Tunisie sur la voie de la croissance et du développement.
Pris à son propre piège.
Persuadé dès son élection en 2012 de pouvoir inverser la courbe du chômage, François Hollande a traîné ce boulet tout au long de son quinquennat.
QUESTION DU JOUR.
DÉCRYPTAGE.
Pour François Hollande, les résultats de sa politique de lutte contre le chômage 'sont là'.
Si le chômage a reculé en 2016, on est loin cependant d’une inversion de la courbe du chômage.
Créations d'emplois dynamiques et taux de chômage au plus bas depuis neuf ans: le marché du travail aux États-Unis n'a pas semblé pâtir de l'incertitude entourant l'élection présidentielle de novembre même si certains points noirs subsistent.
Les chiffres de l'emploi affichent une santé étonnante en novembre, déjouant les prévisions des analystes.
Suisse : Les chiffres dévoilés par le SECO vendredi sont en dessous des prévisions des économistes.
La consommation n'a guère insufflé d'impulsions à la croissance.
Sur un an, le PIB affiche toutefois une progression de 1,3%.
Le tourisme d'achat ne connaît pas la crise: les Suisses continuent à faire leurs courses dans les pays voisins meilleur marché, en particulier dans le Bade-Wurtemberg allemand.
La croissance de la Suisse a été nulle au troisième trimestre, un temps d'arrêt dans le redressement d'une économie qui se remet encore du choc infligé par l'envolée du franc depuis son désarrimage d'avec l'euro, montrent les données publiées vendredi par le Secrétariat d'Etat à l'économie (Seco).
Le produit intérieur brut (PIB) réel de la Suisse n'a pratiquement pas varié sur la période juillet-septembre après une croissance de 0,6% au trimestre précédent.
Ce chiffre est en deà§à de la prévision moyenne de croissance de 0,3% des 12 économistes interrogés par Reuters et est bien plus faible que la plus pessimiste de leurs estimations.
Par rapport au troisième trimestre 2015, le PIB a progressé de 1,3% contre 2,0% au trimestre précédent.
La variation trimestrielle du PIB constitue la performance la plus faible de l'économie helvétique depuis plus d'un an.
Grèce : Le gouvernement grec cherche par tous les moyens de parvenir à un accord avant la fin décembre avec ses créanciers (l'Union européenne et le Fonds monétaire international) sur les réformes budgétaires afin d'obtenir un engagement pour un allègement de la dette, espérant que cela pourra donner une impulsion à son économie chancelante.
Athènes espère également qu'un accord persuadera la banque centrale européenne (BCE) de rendre la dette souveraine grecque éligible à son programme de rachats d'actifs, connu sous le nom de 'quantitative easing' ou QE.
Sans un allègement de la dette, la BCE n'accordera pas à la Grèce l'accès à son programme.
Et sans cela, le pays ne sera pas capable de reprendre ses emprunts sur les marchés d'ici 2018, a estimé lundi le ministre des Finances Euclide Tsakalotos.
Le vice-Premier ministre grec Yannis Dragasakis, a appelé dans un article paru samedi dans le journal Efimerida ton Syndakton, à une issue positive de la réunion de l'Eurogroupe de lundi.
Les ministres des Finances de la zone euro, qui évalueront lundi la progression des réformes réclamées à la Grèce dans le cadre du troisième plan d'aide, devraient aussi évoquer l'épineux dossier de sa dette, sur laquelle l'Allemagne et le FMI peinent à s'accorder.
Etats-Unis : Les entreprises américaines ont continué de recruter à un rythme soutenu en novembre et le taux de chômage est tombé à son plus bas niveau depuis plus de neuf ans à 4,6%, ce qui rend quasi-certaine une hausse de taux de la Réserve fédérale dans moins de deux semaines.
Le département du Travail a fait état vendredi de 178,000 emplois non-agricoles créés le mois dernier, alors que les économistes interrogés par Reuters prévoyaient en moyenne un chiffre de 175,000.
La révision des statistiques de septembre et octobre se solde toutefois par 2.
Le taux de chômage aux Etats-Unis s'établit à 4,6 % de la population active, selon les chiffres annoncés ce vendredi par le département du Travail.
178,000 emplois ont été créés en novembre.
Italie : À quelques jours d'un référendum crucial, l'économie italienne montre des signes positifs avec un PIB en hausse de 0,3 % au troisième trimestre et de 1 % sur un an.
Espagne : L'Espagne a promis vendredi de maintenir son économie sur les rails fixés par Bruxelles en réduisant son déficit public, mais le gouvernement conservateur s'est engagé à faire porter l'effort surtout sur les grandes entreprises.
Le pays en sortie de crise se donne deux ans pour repasser sous la barre des 3% du PIB pour le déficit public imposée par le pacte de stabilité budgétaire européen.
'Nous devons faire un effort énorme pour réduire le déficit' public, à 3,1% du PIB en 2017 et à 2,2% en 2018, a fait valoir devant la presse le ministre des Finances, Cristobal Montoro.
Pour cela, il faudra réaliser des ajustements budgétaires de 16 milliards d'euros, a-t-il dit.
'A qui demandons-nous cet effort' Aux familles, aux travailleurs indépendants, aux PME? Absolument pas', a-t-il lui-même répondu.
Canada : Le taux de chômage, à 6,2 %, n’a jamais été si bas au Québec depuis 1976, année où des données comparables sont devenues disponibles.
Après la Colombie-Britannique, il est le plus bas au pays, selon Statistique Canada.
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