Auris Gestion est organisée en deux pôles d'activité bien distincts et séparés par une muraille de Chine : le pôle Gestion Privée d'un côté et le Pôle Asset Management (au service, dans le cadre d'une relation de travail BtoB, des CGP/Family Offices et institutionnels) de l'autre. Si les membres d'un pôle peuvent bien évidemment échanger avec ceux de l'autre pôle sur des idées d'investissement et plus généralement sur la macroéconomie et les conditions de marchés, une stricte séparation des activités de chaque pôle est respectée afin de préserver une totale confidentialité (notamment sur la clientèle accompagnée en direct ou encore sur celle de nos partenaires CGP/Family Offices). Notre dispositif déontologique et notre organisation interne permettent ainsi d'assurer un total cloisonnement entre les deux activités et ce afin d'éviter tout conflit d'intérêts.
Coup d'envoi de la guerre commerciale, par Thomas Giudici Responsable de la gestion obligataire chez AURIS GESTION.
Alors que la déferlante DeepSeek sur les marchés financiers a finalement été assez rapidement atténuée grâce à de bons résultats des Big Tech, les investisseurs devaient également faire face à une semaine relativement chargée en données macroéconomiques et réunions de politique monétaire. Sur ce dernier point, le bon travail de sape des membres de la Fed et de la BCE pré-réunion a permis d'éviter toute surprise.?
Du côté de la BCE, la faible croissance en zone euro et la confiance dans le mouvement de désinflation ont permis aux membres de l'institution européenne d'acter une quatrième baisse de taux consécutive. Comme nous l'indiquions dans notre dernier rendez-vous du lundi, la question va désormais porter sur le taux neutre à atteindre alors que Christine Lagarde a confirmé que les taux restaient encore en territoire restrictif.
Si la Présidente de la BCE ne veut naturellement pas s'engager sur ce point, d'autant plus avec l'incertitude entourant les droits de douane de Donald Trump, une nouvelle baisse lors de la prochaine réunion de mars est en revanche quasi certaine. En effet, la BCE se doit de soutenir la croissance de la zone euro et la publication des PIB français et allemand pour le quatrième trimestre 2024 ne fait que le confirmer. Les deux locomotives de la zone ont une nouvelle fois déçu, avec un repli plus important qu'attendu de leur croissance (respectivement -0.1% et -0.2% pour la France et l'Allemagne) entraînant une stagnation de la croissance de la zone euro sur la période.?
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