Au menu de la presse française ce matin :
LE MONDE
- « Pourquoi la France n'est-elle pas parvenue à se doter au fil de ses soubresauts politiques d'un modèle économique consensuel ? » .Le consultant Patrick d'Humières constate, dans une tribune au « Monde », qu'aucun parti politique ne soutient les principes d'une économie efficace et « responsable », alliant principes de bonne gouvernance et juste répartition de la valeur.
- Au Kenya, l'empire économique et politique de Mama Ngina Kenyatta, « la fille du village » .« Fortunes africaines » (2/3). Dans l'ombre, la femme de 91 ans, veuve et mère de président, a bâti l'un des plus gros conglomérats d'Afrique de l'Est en accumulant les terres, en créant un puissant groupe laitier et en se diversifiant dans la banque, l'hôtellerie, l'immobilier ou les médias…
- Acheter une île .« Immobilier : les biens qui font rêver » (1/6). Pour devenir propriétaire d'une île, il faut en avoir les moyens, être dur à la tâche, débrouillard et de ne pas renâcler à vivre un mode de vie spartiate.
- L'Arcom renforce les règles de contrôle du pluralisme dans les médias audiovisuels .L'Autorité de régulation de la communication audiovisuelle et numérique s'appuiera désormais sur un « faisceau d'indices » pour évaluer le respect du pluralisme, conformément à la décision du Conseil d'Etat du 13 février, a-t-elle annoncé, jeudi 18 juillet.
- La mort de Nonce Paolini, « Bouygues Boy » indéfectible et ancien PDG du groupe TF1 .En neuf années de présidence, Nonce Paolini, mort le 17 juillet, a conduit un profond renouvellement de la première chaîne privée d'Europe.
- Un « déséquilibre durable » des opinions exprimées à la télévision et la radio sera sanctionné, promet l'Arcom .L'ONG Reporters sans frontières (RSF) est à l'origine de cette procédure, considérant que CNews « est devenue un média d'opinion », ce que l'intéressée récuse.
- L'avertissement de la banque centrale européenne face au risque d'un dérapage budgétaire en France .La BCE, qui a laissé ses taux d'intérêt inchangés, souligne la nécessité de respecter le cadre budgétaire européen « sans délai ».
- Le Gabon du général Oligui Nguema se « réapproprie » une partie de son pétrole .En nationalisant la société Assala Energy, le régime de transition entend bénéficier des retombées économiques de l'or noir, dont les revenus ont été accaparés des décennies durant par la famille Bongo.
- « Marianne » : CMI France et Pierre-Edouard Stérin mettent fin aux négociations exclusives face à la « volonté unanime » des salariés .Le groupe de presse de l'homme d'affaires tchèque Daniel Kretinsky et le milliardaire catholique conservateur sont convenu de l'impossibilité de poursuivre les discussions. L'entrepreneur Jean-Martial Lefranc entre en négociations exclusives avec CMI France.
- Les ouvriers de Boeing votent le principe d'une grève massive .Le syndicat IAM District 751 réclame une revalorisation des rémunérations d'au moins 40 % répartie sur trois ans.
- « L'Ere du temps libéré », ou comment donner un rythme plus désirable à nos vies .« Il est urgent de considérer le temps comme objet politique à part entière ». Dans leur essai, Charles Adrianssens et Paul Montjotin font des propositions concrètes pour que chacun, dans son travail comme dans sa vie personnelle, puisse « décélérer » et reprendre le contrôle de sa vie, dans un mouvement émancipateur.
- « Surtout, ne fermez pas la porte en sortant », un ouvrage pour dénoncer les violences managériales .D'anciens salariés d'une école en travail social font le récit des violences managériales qu'ils ont subies durant plusieurs années. Dans une « ambiance toxique » qui a affecté durablement leur santé mentale et physique, ils n'ont eu d'autre issue que de quitter leur poste.
- Aliko Dangote ou les paris audacieux de l'homme le plus riche d'Afrique .« Fortunes africaines » (1/3). Au Nigeria, un pays regorgeant de pétrole, le milliardaire a bâti une immense fortune sans toucher une goutte d'or noir… Jusqu'à son nouveau défi : le raffinage.
- Taxis volants : recours en justice contre l'exploitation d'un « vertiport » sur la Seine pendant les Jeux olympiques .La Ville de Paris et des associations contestent l'autorisation accordée par le gouvernement à l'expérimentation d'un petit hélicoptère électrique biplace qualifiée d'« aberration écologique pour ultrariches »
- Pompe à chaleur : quand l'artisan prétend avoir le label RGE .Le label « Reconnu garant de l'environnement » de l'artisan est une des conditions pour obtenir la prime énergie et le crédit d'impôt auxquels les particuliers ont droit.
- Paris 2024 : à quoi s'attendre dans les transports en Ile-de-France ? .La question des transports en commun a-t-elle été suffisamment anticipée pour les Jeux olympiques afin d'assurer à la fois le bon déroulement de l'événement et les déplacements des habitants de la région parisienne ? Réponse dans ce podcast à quelques jours de la cérémonie d'ouverture, avec Sophie Fay et Emeline Cazi, journalistes au « Monde ».
- Duralex : le tribunal de commerce d'Orléans renvoie au 26 juillet sa décision sur un éventuel repreneur .En redressement judiciaire, l'emblématique entreprise de verrerie emploie 228 salariés. Trois offres de reprise ont été étudiées par la justice, dont une SCOP, qui bénéficie de l'appui de la CFDT, syndicat majoritaire, des élus locaux et de la région Centre-Val de Loire.
- Dior et Armani sous le coup d'une enquête pour exploitation de travailleurs chez des sous-traitants chinois en Italie .Dans la région de Milan, les autorités italiennes ont découvert des travailleurs sans-papiers, logés dans des dortoirs au sein d'ateliers chinois qui fournissent les marques Dior et Armani.
- Les Tchèques préfèrent les Coréens à EDF pour construire deux nouveaux réacteurs nucléaires .En dépit des efforts diplomatiques de la France, le gouvernement conservateur de Petr Fiala a privilégié l'offre du sud-coréen KHNP, estimant qu'elle apportait plus de garanties en cas de retard.
- Les défaillances d'entreprises retrouvent leur plus haut niveau .Si les experts de l'observatoire BPCE, qui publiaient leurs données mercredi 17 juillet, ne prévoient « pas de tsunami » en 2024, l'année pourrait cependant connaître le nombre de défaillances le plus élevé des quinze dernières années.
.Source : Le monde
LES ECHOS
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Source : Les echos
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