L'économie est une chose très simple. Tellement simple qu'il n'y a bien que les économistes prétentieux généralement universitaires et fonctionnaires pour croire que l'économie est une science.
L'économie c'est du bon sens et de la philosophie politique. L'économie, c'est en réalité la compréhension des ressorts humains pour en tirer le meilleur parti… dans la recherche du bien commun.
L'économie est de l'intendance.
Une intendance qui doit être au service du bien commun.
Mais, le développement du bien commun, ne signifie pas de donner l'argent que nous n'avons pas, de partager l'argent gagné difficilement par d'autres en faisant fi de la réalité des processus de création de richesses.
On ne peut distribuer que ce qui existe.
Imaginez une seule seconde un monde comme celui de Sandrine Rousseau où tout le monde au même moment exercerait son droit à la paresse!
Imaginez ce monde-là ?
Il n'y aurait plus rien. Plus un chauffeur de bus pour vous conduire, plus un artiste pour peindre ou chanter, plus un médecin ou infirmière pour vous soigner, plus un pompier pour vous relever.
Rien.
Que des larves allongés dans leurs canapés qui ne pourraient même plus regarder Netflix puisque les acteurs seraient aussi en refus de “travailler”. Impossible en plus de se consoler avec une bonne bouteille d'alcool pour oublier… et plus aucune drogue à disposition puisque même les dealers cesseraient leur “go fast” qui n'ont lieu que parce que cela rapporte d'argent !
Et bien c'est ce qui commence à se passer alors que LFI n'est même pas au pouvoir, ceux qui créent les richesses ont déjà commencé à prendre leur précaution. Ils anticipent et dans le doute ils s'abstiennent ce qui est évidemment la logique pure de n'importe quel chef d'entreprise dont l'objectif est d'assurer avant tout la pérennité à long terme de son outil de travail.
Brusque coup de frein sur l'investissement des ETI
“Selon une enquête du Meti, 60 % des entreprises de taille intermédiaire ont suspendu tout ou partie de leurs investissements au lendemain des élections législatives. Face à l'éventualité d'un SMIC à 1.600 euros, voulu par la gauche, 28 % d'entre elles estiment qu'elles devraient réduire leur masse salariale.”
“Premières retombées de la dissolution de l'Assemblée sur l'économie française. Seules 6 % des entreprises de taille intermédiaire (ETI) ont prévu de maintenir avec certitude l'intégralité de leurs investissements initiés ou prévus dans l'Hexagone cette année, et 12 % d'entre elles ont d'ores et déjà décidé d'arrêter pour partie au moins leurs projets. C'est ce qui ressort de l'enquête menée par le Mouvement des entreprises de taille intermédiaire (Meti) entre le 11 et le 17 juillet auprès de 1.500 ETI dévoilée en exclusivité par « Les Echos ».
Depuis les élections législatives anticipées, les entreprises sont plongées dans l'incertitude. Sans visibilité, 60 % d'entre elles ont ainsi décidé de suspendre tout ou partie de leurs investissements en attendant que le paysage économique s'éclaircisse. La majorité (55 %) affirme ainsi avoir réduit l'enveloppe qui leur sera consacrée cette année, et 28 % déclarent avoir réorienté tout ou partie de leur budget vers d'autres pays que l'Hexagone.”
Augmenter les uns… pour faire licencier les autres !
Voilà le résultat de la politique “sociale” de nos aimables gauchistes bien gauches en économie !
Il est évident que si les entreprises doivent augmenter forcée la masse salariale, elles devront licencier une partie du personnel qui se retrouvera sans emploi et cessera de consommer tout en coutant plus cher aux finances publiques. Bref, la politique généreuse de la gauche va conduire à plus de misère qu'à combattre la misère !
Ce qui est très inquiétant c'est qu'ils semblent vraiment croire que leurs âneries communistes peuvent fonctionner…
Terrifiant.
Charles SANNAT
0 Commentaire