Fin du tarif réglementé du gaz : l'association de consommateurs CLCV demande un report de deux ans car pour l'association de consommateurs c'est la crainte d'une hausse des factures de « 40, 50 voire 60 % », avec la fin des tarifs réglementés du gaz prévue le 30 juin.
Et oui, dès le 30 juin ce sera marché libre du gaz pour tout le monde.
Hahahahahaha.
Vous allez adorer. Je vous assure, ça va vous plaire.
Voir votre facture de gaz multipliée par 10 ou par 20 ce sera du pur bonheur.
Je ne vous parle même pas des copropriétés et des HLM qui sont chauffés avec des chaufferies au gaz….
« Les quelques 2,6 millions de Français soumis au tarif réglementé du gaz vont-ils prochainement subir une forte hausse de leur facture ? C'est ce que craint la CLCV avec la fin de ce tarif réglementé de vente de gaz pour les particuliers, prévue le 30 juin afin de se conformer au droit européen , qui a décidé de mettre la pression sur l'exécutif.
L'association de défense des consommateurs a ainsi envoyé un courrier à Emmanuel Macron pour demander un report de deux ans. À partir du 1er juillet, « 2,6 millions de ménages devront renoncer au tarif réglementé du gaz et souscrire à une offre de marché » et « le tarif réglementé cessera bien sûr d'être la référence concrète d'indexation de nombreuses offres de marché », redoute l'association de consommateurs, dans ce courrier daté du 7 décembre mais rendu publique mardi 10 janvier. »
Alors mon petit Bruno ?
Qua vas-tu faire ?
Encore un bouclier ?
De quelle forme ?
Rond ? Carré ?
Parce que la fin des tarifs règlementés pour le gaz c'est l'Europe aussi.
Alors le Totem européen de notre gouvernement ça suffit.
Si toi Bruno, et toi Manu (à chanter comme Bruel avec la chanson de Place des grands hommes mais en petits pour les hommes actuels), tu veux sauver l'Europe, alors il faut que l'Europe redevienne ce qu'elle était et ce qu'elle devrait être. Non pas un Empire qui rêve sa puissance, mais un idéal de paix et de prospérité qui rapproche et uni les peuples.
Il faut donc encore une fois mettre fin à ce marché de l'énergie en Europe, par la négociation idéalement, par la suspension si nécessaire.
Comme disait le général de gaulle, quand on est couillonné, on est couillonné, on se lève est on part.
Enfin voici très exactement le dialogue en question. A méditer à l'aune de la situation actuelle.
Alain Peyrefitte : – Le traité de Rome n'a rien prévu pour qu'un de ses membres le quitte.
Charles-de-Gaulle : – C'est de la rigolade !
Vous avez déjà vu un grand pays s'engager à rester couillonner, sous prétexte qu'un traité n'a rien prévu pour le cas où il serait couillonné ? Non.
Quand on est couillonné, on dit : « Je suis couillonné. Eh bien, voilà, je fous le camp ! »
Ce sont des histoires de juristes et de diplomates, tout ça.
Alain Peyrefitte : – Nous pourrions dire que ce n'est pas nous qui abandonnons le Marché commun, c'est lui qui nous abandonne.
Charles-de-Gaulle : – Mais non ! Ce n'est pas la peine de raconter des histoires ! D'ailleurs, tout ce qui a été fait pour l'Europe, par ce qu'on appelle les « Européens », a très bien marché tant que c'était la France qui payait tout.
Vive la France.
Charles SANNAT
0 Commentaire