Et oui.
La vie est dure et l'égalité est une notion de droit fondamentale, mais le banquier, lui, fait de la discrimination c'est-à-dire un choix quand il prête de l'argent à un client !
Et il n'y a aucune égalité entre les clients !
Il est donc important dans cette société du mensonge de comprendre comment cela fonctionne.
Vos dépenses, votre manière de vivre font votre “scoring”, votre “risque”.
Ce n'est pas de la part du banquier un jugement “moral”, chacun fait bien ce qu'il veut… mais pas avec mes sous dira le banquier !
C'est donc un jugement sur le “risque” que vous représentez. L'idée, c'est de prêter aux profils les moins risqués !
Pour cela il y a des outils simples à comprendre même s'ils peuvent être complexes techniquement et qui sont les outils de scoring. Ils sont basés sur des éléments “objectifs”.
Si vous êtes dans le rouge tous les mois aucun banquier ne voudra vous prêter et il ne sera pas utile de crier à l'injustice. Vous ne vous prêteriez même pas vos propres sous !
Si vos dépenses de shopping sont totalement disproportionnées par rapport à vos revenus, alors cela révèlera un comportement d'achat compulsif ou une probabilité forte. Pas de sous !
On le sait moins, mais si vos remboursements “sécu/mutuelles” sont très importants et récurrents, cela peut signifier une maladie grave, chronique ou une probabilité forte. Pas de sous !
Mais le pompon, la dépense la pire ce sont les jeux d'argent. Alors si vous passez votre temps à faire des virements à la Française des Jeux pour du grattage en ligne, ou pire vers les sites de Poker en ligne ou de paris sportifs en ligne… c'est le risque de financer un “joueur” c'est la même chose pour les dépenses dans les casinos. Dans ce cas, pas de sous non plus !
Voilà, si vous voulez des sous, vous avez quelques pistes de dépenses à éviter.
Si vous voulez emprunter, c'est assez simple en réalité.
Dépensez moins que vous gagnez, ayez la meilleure capacité d'épargne possible, et surtout ne jouez pas en ligne !
En fait c'est simple.
Mais pour certains, c'est très difficile.
Charles SANNAT
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