
Faut-il tourner le dos aux énergies renouvelables ? Oui selon Henri Proglio ancien patron d'EDF et pas que… il faut aussi sortir du marché européen de l'électricité qui nous conduit évidemment à l'effondrement.
L'ancien PDG d'EDF, Henri Proglio, relance avec fracas le débat sur la stratégie énergétique française. Selon lui, il est temps de sortir du marché européen de l'électricité, d'abandonner les énergies renouvelables… et même de mettre un terme au programme des nouveaux réacteurs EPR2.
Proglio défend un retour à un modèle national : un prix unique de l'électricité basé sur les coûts réels du nucléaire, loin des mécanismes européens qu'il juge inflationnistes. Il fustige le poids des subventions aux éoliennes et aux panneaux solaires, qui auraient selon lui contribué à la flambée des factures.
Plus surprenant encore : il propose d'abandonner les réacteurs EPR jugés trop coûteux et inconstructibles, pour développer à la place un modèle de réacteur plus petit, plus simple et plus exportable. En parallèle, il prône la prolongation des centrales existantes de 20 ans supplémentaires (qui fonctionnent très bien avec une maintenance adaptée et même resserrée si nécessaire).
Un discours radical, qui séduit de plus en plus à droite comme à l'extrême droite.
Mais au-delà du clivage politique, sa prise de parole interroge : faut-il tout repenser pour retrouver la souveraineté énergétique française ?
Et la réponse est évidemment positive.
Nos « aimables » « Khmers verts » qui nous font un « génocide » économique, un véritable éconocide en référence aux écocides qu'ils ont inventé et qui ont pour conséquence de créer nos éconocides, de détruire de nos emplois, notre niveau de vie et de nous sacrifier sur l'autel de Gaia la terre mère que tous les autres pays continuent à détruire.
Il faut évidemment tout repenser.
Tout, en gardant l'esprit à savoir la limitation au maximum de nos pollutions, mais pas la misère, pas contre les gens, mais avec eux.
Charles SANNAT
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