« Pour la première fois, toute l'Union européenne a enclenché la marche arrière sur l'environnement » écrit le quotidien le Monde presque désespéré et entièrement dépité après tant d'efforts à vendre aux forceps à des populations rétives une écologie aussi absurde que totalitaire et castratrice.
L'écologie triste.
A base de quinoa insipide cuit à la vapeur basse température pour pas trop consommer de gaz russe… en attendant les livraisons du bon GNL américain !
« La plupart des textes-clés du Pacte vert européen, annoncé par Bruxelles en 2019, ont été reportés, rejetés ou vidés de leur substance. Longtemps garantes du verdissement des Etats membres, les institutions communautaires opèrent un recul général sur la question environnementale, estime Stéphane Foucart, journaliste au « Monde ».
Ouin-Ouin… sniff, sniff.
« Le patient détricotage, puis le rejet surprise par le Parlement de Strasbourg du règlement européen sur les pesticides (SUR) marquent probablement la fin d'une époque, la conclusion de ce qui a constitué, au cours des trois dernières décennies, une sorte d'évidence. Tout au long de cette période qui prend fin, l'Union européenne a généralement été garante d'une amélioration à peu près constante de la préservation de l'environnement et de la santé, à travers la construction de normes communautaires et l'introduction dans les droits nationaux de nombreux instruments de protection de la nature et de la santé publique.
Les esprits chagrins peuvent estimer que certains dossiers restent encalminés, que ce mouvement a été lent, pusillanime et parfois chaotique, qu'il a été contradictoire avec d'autres politiques mises en œuvre par l'Union (que l'on songe à la politique agricole commune ou aux accords de libre-échange) : il n'en reste pas moins que le cap a jusqu'ici été globalement fixé par l'état de la connaissance scientifique et la recherche de l'intérêt général. Il est aussi remarquable de constater qu'en dépit des luttes internes à la technocratie bruxelloise, de la volonté souvent vacillante des Etats et de la couleur politique changeante du Parlement, l'objectif de protection de l'environnement a toujours plus ou moins prévalu. »
On peut me raconter tout ce que l'on veut, la réalité, c'est que nous ne sommes pas vertueux.
Nous avons délocalisé les pollutions chez les autres et nous les masquons.
Nous importons en consommant des milliards de tonnes de carbone avec des chaînes logistiques bien trop longues.
Nous faisons de la publicité à outrance, pour pousser les gens à acheter des trucs dont ils n'ont pas besoin avec de l'argent qu'ils n'ont pas.
Puis de Bruxelles ils nous imposent des normes, toujours plus liberticides, au nom de la protection de l'environnement… en payant la guerre en Ukraine, les armes à l'uranium enrichi et les milliers de chars sans ADblue…
Foutaises. Mensonges.
Manipulations.
Hypocrisie.
Alors cette écologie est à vomir.
Logiquement, elle recule, parce qu'elle coûte trop cher.
Elle n'a aucune réalité autre que le contrôle et la norme.
Elle est un outil de soumission aux mains des puissants.
Rien de plus.
Rien de moins.
Alors, en un mot… je n'en ai cure.
La source de l'Article :
Charles SANNAT
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