« Le vélo électrique, c'est polluant : voici son véritable impact sur l'environnement
La notion de pollution peut paraître anodine quand on parle de vélo électrique. Un VAE pollue entre 500 et 1 000 fois moins qu'un véhicule thermique (par kilomètre parcouru) et au minimum vingt fois moins qu'un véhicule électrique à quatre roues. Cela ne l'empêche pas d'être un générateur de pollution.
C'est la phase de production qui est la plus polluante. Un vélo électrique induit de 50 à 200 kg équivalent CO2 selon le modèle ou les marques. À titre d'exemple, le fabricant Riese&Müller communique sur 56 kg par vélo, lorsque Trek tourne plutôt autour de 200 kg. Selon l'Agence française de la transition écologique, l'impact total en prenant le cycle de vie est de 1,1 kg équivalent CO2 aux 100 km pour un VAE, 10 kg pour une voiture électrique et 22 kg pour une voiture thermique.
Parmi les éléments à prendre en compte, il y a aussi le fait que les vélos électriques contrairement aux vélos musculaires, ont des pneus plus imposants pour supporter le poids de l'engin. Cela induit aussi, une augmentation de la pollution. »
Voilà et l'article continue ainsi sur plusieurs paragraphes pour désormais culpabiliser aussi les propriétaires de vélos électriques qui pensent faire des efforts pour sauver climat et planète !
A ce rythme, je pense que la seule solution c'est d'en finir avec les être humains car vivre génère du carbone.
Et c'est bien là le tribut ultime que réclame le parrain Al Carbonne.
Dans son approche la plus extrême, l'écologie, préfère sauver la planète que sauver les hommes.
C'est la définition même du fascisme et de l'extrémisme.
C'est pour cette raison que le parrain Al Carbonne est aussi dangereux et qu'il est aidé par ses sbires du quotidien à savoir les khmers verts.
Charles SANNAT
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