Haaa…. les voitures électriques qui vont sauver la planète avec des batteries bien polluantes pour que les écolos-bobos se croient pleins de vertus en achetant de belles « indulgences » sous la forme de voitures électriques fortement conseillées par le clergé de la sainte église du sauvetage climatique.
Le problème c'est qu'en Allemagne ils ont cessé les aides à ces machins roulants et que personne n'en veut quand ce n'est pas subventionné avec les impôts des autres.
Du coup… Stellantis suspend la construction d'usines de batteries en Europe !
Automotive Cells Company (ACC), une coentreprise soutenue par Stellantis, Mercedes et la SAFT (un fabricant de batteries acquis par TotalEnergie), surnommée “l'Airbus de la batterie”, met un sérieux coup d'arrêt à ses investissements. L'entreprise a annoncé la suspension de ses projets de construction d'usines de batteries en Allemagne et Italie. Une décision issue de la nécessité de revoir sa stratégie et étudier la marche à suivre dans un marché très incertain. Les détails du nouveau calendrier devraient être annoncés fin 2024 ou début 2025. »
« Cette décision est intimement liée à la stagnation du marché de l'électromobilité, alors que les spécialistes prédisaient une hausse continue dans les prochaines années à venir. De plus, l'inflation grève le budget des ménages, les taux d'intérêt remontés en flèche nuisent au crédit et les baisses ou suppressions d'aides étatiques n'aident en rien. »
Et oui… l'économie administrée cela marhce toujours mal !
Obliger les gens à rouler en électrique quand les gens n'en veulent pas, qu'en termes écologiques le gain potentiel est très faible, les prix très élevés, et que les Etats n'ont plus d'argent pour subventionner massivement ces voitures, ce n'est tout simplement pas une bonne idée.
Et les mauvaises idées se fracassent toujours sur le mur de la réalité.
La seule question c'est quand ? Et le délai peut- être très variable. Par exemple le communisme a mis 70 ans avant de s'effondrer quelques dizaines de millions de morts plus tard.
Charles SANNAT
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