A-t-on dépassé le point haut de ce qui sera considéré peut-être un jour comme la « bulle » des véhicules électriques ?
Lorsque l'on regarde ce graphique, c'est l'hypothèse qui peut-être envisagée.
Personne ne veut des voiture à batteries, hormis quelques « geeks » des bagnoles et autres « modernes ». La réalité c'est que les voitures électriques sont très coûteuses et peu pratiques… pour les pauvres !
Pour les riches propriétaires de Tesla, tout va bien. Ils s'arrêtent dans un bon restaurant à 70 euros le menu pendant que la voiture se recharge dans une borne et repartent après le bon gueuleton.
Avec un ticket restau et un kebab c'est plus compliqué d'avoir accès à son super-chargeur Tesla !
Les riches citadins s'étant massivement équipés, c'est assez logique de voir les ventes baisser.
La question est, maintenant les classes moyennes et populaires vont-elles se ruer sur les méganes électriques à 50 000 euros ?
La réponse est assez simple.
Avec l'inflation et la baisse du pouvoir d'achat, tout le monde va garder son vieux véhicule thermique, surtout que nos élus, commencent enfin à être gagnés par la raison sur les ZFE.
Peu de gens le savent mais la part des ventes de voitures électriques est en baisse en Europe. pic.twitter.com/65PFfBwT1U
— Nicolas Meilhan (@NicolasMeilhan) September 10, 2023
Enfin, c'est bien le e-fuel et les carburants de synthèse qui pourraient sauver aussi bien l'environnement que l'industrie automobile et… aussi le pouvoir d'achat des ménages.
Charles SANNAT
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