Bourse : Wall Street attendue en hausse, le CAC 40 en repli, Atos s'envole
Lundi 25 novembre 2024 15:19
Devises : Atone avant la publication des indicateurs américains du jour, le dollar est ensuite reparti de l'avant et s'apprécie de 0,14% face à un panier de devises de référence .
L'euro est repassé sous le seuil de 1,1270 dollar après un pic à 1,1290 en tout début de journée en Asie.
"On assiste à un retour sur le dollar avec la dissipation des anticipations d'une baisse de taux dans le courant de l'année", explique Karl Schamotta, directeur de la stratégie devises et des produits structurés chez Cambridge Global Payments.
La paire EUR/USD se trouve a proximité du support des 1,1250$
La paire EUR / USD a subi aujourd'hui une nouvelle pression à la vente en début de séance et a chuté avec un nouveau plus bas journalier autour du support des 1,1250$ et les cours ont ensuite repris dans la dernière heure.
Au moment d'écrire ces lignes, la paire se négociait à 1,1270 et était pratiquement inchangée sur le graphique journalier.
Plus tôt dans la journée, l'enquête menée par la BCE auprès des professionnels a montré que les prévisions de croissance du PIB en volume pour 2019 sont tombées à 1,2 % contre 1,5 % précédemment et à 1,4 % contre 1,5 % en 2020 pour peser sur l'euro.
En outre, Mr Villeroy, membre du Conseil des gouverneurs de la BCE et chef de la Banque de France, a reconnu que l'économie de la zone euro ralentissait et qu'elle était déterminée à être " aussi accommodante que nécessaire et aussi longtemps que nécessaire ".
Les demandes hebdomadaires de prestations de chômage au cours de la semaine se terminant le 5 avril ont chuté à 196 000 pour la première fois depuis 1969 aux Etats-Unis et l'indice annuel des prix à la production a atteint 2,2 % en mars pour dépasser les prévisions du marché de 1,9 %.
La livre sterling, elle, n'a pas profité du délai supplémentaire accordé à Londres pour sortir de l'impasse du Brexit: elle baisse face au dollar et à l'euro .
Le risque d'une démission de la Première ministre britannique, Theresa May, celui d'élections anticipées et bien sûr celui d'un impact défavorable sur l'économie britannique restent présents, notent des cambistes.
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