L'euro et le dollar sont stables ce mercredi tandis que les investisseurs se positionnent en vue du dénouement de la réunion de la Banque Centrale Européenne ce jeudi.
L'EUR/USD change peur à 1,0718.
Le monnaie unique recule à un plus bas de 20 mois lundi après que le referendum du premier ministre italien Matteo Renzi ait été rejeté et l'ai conduit à la démissions.
L'euro a toutefois rapidement rebondi, le risque politique lié à l'Italie ayant été largement surestimé.
En revanche, l'inquiétude relative au secteur bancaire italien demeure vive.
Reuters a déclaré mardi que le gouvernement se préparait à prendre une participation de contrôle de 2 milliards d'euros au sein de Monte dei Paschi, l'une des institutions bancaires italiennes en difficulté.
Les investisseurs demeurent prudents en vue de la réunion de politique de la BCE jeudi.
La BCE devrait annoncer l'extension de son de facilitation, mais toute indication quant à une éventuelle réduction de son programme d'achat d'actif pourrait annuler les effets de ses actions de stimulation.
Le dollar reste stable contre un panier de six principales autres devises, avec l'indice U.
S.
dollar à 100,52.
Le dollar progresse contre le yen, avec l'USD/JPY en hausse de 0,16% à 114,20, s'éloignant de son plus haut de neuf mois et demi de 114,83, atteint la semaine dernière.
La demande pour le billet vert continue d'être soutenue par les attentes d'une hausse des taux par la Fed durant ce mois de décembre.
Les investisseurs estiment à 100 % la probabilité d'une hausse des taux la semaine prochaine, d'après l'outil de suivi des taux de la Fed d'.
L'aussie est en baisse avec l'AUD/USD qui perd 0,4% à 0,7430 après des chiffres indiquant un repli de l'économie de 0,5% lors du troisième trimestre.
La Banque d'Australie avait admis que la croissance reculerait après qu'elle ait conservé ses taux d'intérêt inchangés, mais a également prédit qu'elle s'améliorera dans le futur.
La livre recule avec le GBP/USD en repli de 0,5% à 1,2631.
La livre a touché un plus haut de neuf semaine mardi après que le Chancelier britannique Philip Hammond ait déclaré que le gouvernement n'excluait pas de devoir continuer à payer l'Union Européenne après le Brexit afin d'accéder au marché européen.
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