EUR : L'euro perdait encore un peu de terrain jeudi face à un billet soutenu par des progressions supérieures aux attentes de la croissance économique aux Etats-Unis au deuxième trimestre et des créations d'emploi au mois d'août.
Vers 06H00 GMT (08H00 HEC), l'euro valait 1,1872 dollar contre 1,1882 dollar mercredi vers 21H00 GMT et 1,1974 dollar mardi soir.
La monnaie européenne était montée mardi en séance jusqu'à 1,2070 dollar, au plus haut depuis janvier 2015.
La devise européenne progressait en revanche face à la devise nippone à 131,23 yens contre 131,04 yens mercredi soir.
L'euro avait atteint mercredi en séance 131,71 yens, son niveau le plus fort depuis février 2016.
La ministre de la Santé fixe comme objectif un paquet à 10 euros en 2020.
L'euro remontait jeudi face au dollar, soutenu par la progression de l'inflation en zone euro, tandis que le billet vert bénéficiait toujours des données publiées la veille sur la croissance économique et les créations d'emplois aux Etats-Unis.
Vers 09H00 GMT (11H00 HEC), l'euro valait 1,1903 dollar contre 1,1882 dollar mercredi vers 21H00 GMT.
La monnaie européenne était montée mardi en séance jusqu'à 1,2070 dollar, au plus haut depuis janvier 2015.
La devise européenne progressait face à la devise nippone à 131,57 yens contre 131,04 yens mercredi soir.
L'euro avait atteint mercredi en séance 131,71 yens, son niveau le plus fort depuis février 2016.
La forte hausse de l'euro face au dollar n'a rien d'un feu de paille : la monnaie unique pourrait même se maintenir durablement au-dessus de 1,20 dollars.
Cette situation impose quelques arbitrages dans son portefeuille, de privilégier les valeurs domestiques ou euros aux sociétés exportatrices.
Jeudi midi sur le marché des changes, la monnaie unique européenne continuait de se replier face du billet vert américain, deux jours après avoir atteint un sommet depuis janvier 2015, à 1,2071.
Pour l'heure, l'euro recule de 0,29% à 1,1861 dollar, tout en restant neutre face aux autres grandes contreparties.
La correction de l'euro a été dopée, hier, par la publication de statistiques américaines meilleures qu'attendu, en ce qui concerne la croissance pour le 2e trimestre (3% contre 2,8%, après 2,6% au T1).
De plus, le rapport de l'institut privé ADP a témoigné de 237,000 créations de postes non agricoles en août, soit plus que prévu.
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