Bourse : Le CAC40 termine en hausse malgré le repli de Thales et de mauvais PMI
Vendredi 22 novembre 2024 18:39
Le dollar se déprécie après les chiffres de la balance commerciale chinoise, qui rassurent sur la conjoncture mondiale et privent le billet vert d'une partie de son attrait de valeur refuge.
Toutefois, le niveau de la volatilité se normalise sur le cours de l’euro dollar, la tendance est neutre alors que BCE et FED convergent sur le plan monétaire.
L'indice mesurant les fluctuations de la monnaie américaine face à un panier de référence recule de 0,09%.
Le dollar contre yen démarre la semaine prudemment avant la saison des résultats, la devise japonaise a légèrement progressé mardi, à 107,2 par USD, car les investisseurs restent également préoccupés par l'impact mondial du coronavirus, bien que certains pays européens envisagent déjà d'assouplir certaines mesures restrictives.
L'euro remonte vers 1,0940 dollar et la livre sterling s'apprécie de près de 0,3% contre la monnaie américaine.
L'euro se renforce légèrement
L'euro a légèrement augmenté de 0,2 % à 1,0932 $ mardi, après que des données commerciales meilleures que prévues de la Chine aient poussé les investisseurs à se précipiter vers des devises plus risquées.
La monnaie du bloc a été mise sous pression alors même que les ministres des finances de l'Union européenne se sont mis d'accord la semaine dernière sur un paquet de soutien pour aider les économies en difficulté avec le Covid-19, la controverse subsistant car l'accord ne mentionne pas l'utilisation de la dette commune pour financer la reprise.
La livre sterling est à son plus haut niveau sur un mois
La livre sterling a touché 1,2575 $ mardi, son plus haut niveau depuis le 13 mars, les investisseurs se tournant vers des devises plus risquées après que le commerce de la Chine ait été meilleur que prévu.
Les exportations et les importations du pays en mars ont diminué beaucoup moins que prévu en raison de l'épidémie de coronavirus, ce qui laisse espérer que les retombées économiques de la pandémie pourraient ne pas être aussi graves que ce que craignaient les marchés.
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