La livre sterling maintient une stabilité sur le marché des changes, même face à la publication des données du produit intérieur brut (PIB) conformes aux attentes.
Malgré l'absence de mouvements significatifs de la devise, cette constance témoigne d'une réaction calme des investisseurs suite à la réception des informations économiques attendues.
Cette situation pourrait refléter une certaine prévisibilité dans les perspectives économiques, bien que des développements ultérieurs pourraient influencer les échanges sur la livre sterling dans les séances à venir.
Le dollar affiche une légère tendance à la baisse, reculant de 0,10% par rapport à un panier de devises de référence.
Cette légère diminution peut refléter une certaine fluctuation dans le marché des changes, probablement influencée par divers facteurs économiques et géopolitiques en cours.
Pendant ce temps, l'euro monte de 0,20% par rapport au dollar américain, s'échangeant à 1,094 dollar.
Cette augmentation de l'euro peut être interprétée comme une réaction à des données économiques favorables ou à des événements spécifiques dans la zone euro qui renforcent la confiance des investisseurs dans la monnaie unique européenne.
Ces mouvements sur le marché des changes soulignent l'importance de surveiller de près les fluctuations des devises pour les investisseurs et les acteurs économiques dans un contexte de volatilité mondiale.
La livre sterling reste stable malgré la conformité des données du PIB aux attentes
La livre sterling maintient sa position autour de 1,28 dollar, reculant légèrement après avoir atteint son plus haut niveau en plus de sept mois, soit 1,289 dollar, le 8 mars dernier.
Cette diminution intervient alors que les chiffres du PIB britannique se sont alignés sur les attentes, tandis qu'un IPC américain légèrement supérieur aux prévisions a soutenu le dollar.
Les récentes données de l'ONS ont révélé une croissance de 0,2 % du PIB britannique en glissement mensuel pour le mois de janvier, portée par la reprise des ventes au détail et de la construction résidentielle, après une contraction de 0,1 % en décembre.
Par ailleurs, des données antérieures ont montré que les salaires réguliers britanniques ont progressé de 6,1 % en glissement annuel au cours des trois mois précédant la fin de janvier, marquant le rythme le plus lent depuis les trois mois précédant octobre 2022 et légèrement inférieur à la prévision de 6,2 %.
Les opérateurs du marché estiment toujours que la Banque d'Angleterre est susceptible de procéder à sa première réduction de taux en août, tout en anticipant des baisses potentielles des taux de la part de la Banque centrale européenne et de la Réserve fédérale dès le mois de juin.
0 Commentaire