Bourse : Le CAC 40 dans le rouge, Trump ravive les craintes de guerre commerciale, à suivre...
Mardi 26 novembre 2024 08:42
Le dollar a légèrement baissé mercredi face à un panier d'autres principales devises, alors que la livre a rebondi après les commentaires du négociateur de l'Union européenne Michel Barnier sur le Brexit.
L'indice dollar, qui mesure la force du billet vert face à un panier de six grandes devises, recule à 94,57 à 10h24 HE (14h24 GMT), non loin du creux de 94,34 atteint mercredi.
Le sentiment du marché a été soutenu par l'espoir que le Canada rejoindra le nouvel accord commercial entre les États-Unis et le Mexique visant à réviser l'Accord de libre-échange nord-américain.
Mais le nouvel accord commercial n'a guère montré comment un différend commercial entre les États-Unis et la Chine pourrait se développer après que les négociations de la semaine dernière se soient terminées avec peu de progrès et que les deux pays aient imposé de nouveaux droits réciproques sur les importations.
Le dollar a peu réagi aux données montrant que la croissance économique américaine était légèrement plus forte que prévu au deuxième trimestre, atteignant 4,2%, les marchés restant concentrés sur les évolutions géopolitiques.
La livre a bondi avec le GBP / USD en hausse de 0,95% à 1,3000 après que le négociateur de l'UE, Michel Barnier, a déclaré que le bloc était prêt à offrir un partenariat avec la Grande-Bretagne.
Les commentaires ont atténué les inquiétudes sur la perspective d'un Brexit sans accord.
L'euro a nettement baissé par rapport à la livre sterling, avec l'EUR / GBP en baisse de 0,87% à 0,9006.
Le dollar a progressé face au yen, avec l'USD / JPY en hausse de 0,25% à 111,47.
L'euro a peu changé contre le dollar, avec l'EUR / USD à 1,1693 : Pendant ce temps, la livre turque a encore chuté contre le dollar mercredi, sous la pression de l'incertitude persistante sur le conflit diplomatique entre Washington et Ankara.
La détérioration des relations entre les États-Unis et Ankara et les inquiétudes sur le contrôle croissant du président turc Tayyip Erdogan sur la politique monétaire et l'économie ont fait chuter la livre de près de 40% cette année et atteint des niveaux record en milieu de mois.
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