ET SI. il y avait une autre manière de voir les choses, d'aborder un problème que celle soutenue par le consensus. Non pas que le consensus ait forcément tort, mais il n'a pas non plus systématiquement raison. Il est donc souhaitable de s'intéresser de temps à autres aux angles morts que délaisse le marché. Parfois, cela permet de conforter son opinion, et dans d'autres cas ça aide à revisiter son point de vue. C‘est que nous vous proposons sur @Synapses avec cette nouvelle émission intitulée ET SI.
Avec ET SI, @Synapses se propose de stimuler votre réflexion et la nôtre. Car certains d'entre vous ne manqueront pas de soulever des contre-arguments tout à fait valides et d'autres apporteront tout aussi justement de l'eau au moulin de la thèse soutenue ici.
ET SI se veut avant tout un exercice de réflexion collective. Ce qui signifie que vos COMMENTAIRES, vos remarques constructives sont attendus et espérés, toujours dans le respect de l'opinion d'autrui.
Pour recueillir votre point de vue, nous proposerons plusieurs SONDAGES dans les jours qui suivront la publication de cette vidéo.
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Dans ce premier opus de ET SI, nous posons la question : « ET SI. le consommateur plombait la bourse ? ». Les investisseurs demeurent pour beaucoup persuadés que rien de grave ne saurait se produire sur les marchés boursiers dans la mesure où la FED, c'est-à-dire la Réserve Fédérales des États-Unis, la première des banques centrales de la planète, est condamnée à les soutenir (idem pour la BCE, la Banque Centrale Européenne). Cette croyance réconfortante (et jusqu'ici validée par les faits) n'occulte-t-elle pas quelques facteurs importants dans l'équation, à commencer par l'inflation, le consommateur et certains aspects politiques ?
ET SI se penche précisément sur la question de la hausse des prix, revient sur l'ampleur du resserrement monétaire qui se profile et qu'orchestreront Jerome Powell et ses comparses de la Réserve Fédérale des États-Unis, tout en abordant la question pas si saugrenue du rapport de force entre Main Street et Wall Street car certaines données laissent penser que le consommateur américain pourrait être à l'origine de la rupture (jusqu'ici inenvisageable) de l'idylle entre la FED et la bourse.
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