Etats-Unis : wall street a terminé sur une note indécise lundi, avec un biais légèrement baissier, la bonne hausse d'Apple n'ayant pu surmonter les interrogations sur le calendrier du resserrement monétaire de la Réserve fédérale.

La bourse de New York a ouvert en hausse mardi, au lendemain d'une séance sans relief en raison du flou persistant entourant le calendrier du resserrement monétaire aux États-Unis.
La bourse de New York devrait tenter de rebondir mardi à l'ouverture après son léger repli de la veille, grâce notamment à la bonne tenue des cours du pétrole.
wall street a ouvert en hausse mardi, les investisseurs, déjà encouragés par des bourses européennes en hausse, saluant un indicateur sur l'immobilier bien meilleur que prévu: le Dow Jones gagnait 1,02% et le nasdaq 1,29%.
Vers 14h15 GMT, l'indice vedette Dow Jones Industrial Average progressait de 178,60 points à 17,671,53 points et le nasdaq, à dominante technologique, de 61,59 points à 4,827,37 points.
L'indice élargi S§P 500 gagnait 20,26 points, soit 0,99%, à 2.
La hausse l'emporte largement mardi à wall street, même si les indices affichent des scores deux fois moins euphoriques qu'en Europe.
La bourse de New York était en nette hausse mardi à la mi-journée, les investisseurs décidant de saluer avec un réel enthousiasme des chiffres sur l'immobilier très largement supérieur aux attentes:le Dow Jones gagnait 1,15% et le nasdaq 1,69%.
Vers 16H00 GMT, l'indice vedette Dow Jones Industrial Average progressait de 201,61 points à 17,694,54 points et le nasdaq, à dominante technologique, de 80,58 points à 4,846,36 points.
L'indice élargi S§P 500 gagnait 25,52 points, soit 1,25%.
Zone euro : Après leur repli de la veille et leur ouverture en baisse, les bourses européennes ont retrouvé le chemin de la hausse mardi à la mi-séance, notamment emmenées par les valeurs financières et celles liées aux matières premières tandis que wall street est attendue en légère progression après sa session irrégulière de lundi.
France : Le CAC 40 s'envole de 1,8% à 4,400 et s'avance allègrement vers un 100Pts par rapport au 'plus bas du jour' (test des 4,300,50Pts dans le sillage de la baisse de -1% de Tokyo ou de -0,75% de Shanghai).
L'Euro-Stoxx50 affiche la même trajectoire algorithmique, la hausse s'étant renforcée contre toute logique avec la lourde chute de -6,4Pts (vers 4,8) du baromètre ZEW en mai, là où une hausse était anticipée.
Après avoir ouvert en baisse, le CAC 40 est désormais très au-dessus de la ligne de flottaison et accroît même ses gains.
Nous sommes tout simplement en train d'assister à la plus forte hausse linéaire intraday depuis le 22 octobre dernier.
et peut-être même de l'histoire.
Les opérateurs invoquent une progression de 0,65% du Dollar.
-Nous venons d'assister à la plus forte hausse intraday 'intégralement linéaire' de l'histoire : une hausse totalement 'pure' de 140Pts, exempte du moindre retracement sur une durée de près 8 heures et 15 minute.
Le cac40 ( 2,5% à 4,431) n'a pas connu le moindre 'pullback' d'une amplitude supérieure à 5Pts entre 9H10 et 17H29 ce mardi.
Il a fallu attendre le 'fixing' pour voir le cac40 céder un total de -9Pts sur ses 'plus hauts'.
S'il y avait une ruée des opérateurs sur le papier, on pourrait parler d' une sorte d'hystérie haussière, mais il n'y a que des 'robots' (2,7MdsE d'échanges à 17H29, 3,3MdsE à 17H35).
L'indice phare de la bourse de Paris a connu ce mardi la plus forte hausse linéaire intraday de l'histoire.
Mais 'personne ne sait pourquoi ça a monté'.
Suisse : La bourse suisse a fini sur une note nettement positive mardi, dans une séance caractérisée par de faibles volumes.
Russie : Le retour de la Russie sur le marché international de la dette, pour la première fois depuis l'introduction de sanctions occidentales en 2014, s'est soldé mardi par un résultat en demi-teinte, attirant une forte demande mais pas les investisseurs internationaux.
Si Moscou a bien démontré sa capacité à emprunter sur le marché au moment où ses finances sont étranglées par les sanctions mais aussi l'effondrement des prix du pétrole, cette émission obligataire en dollars a aussi confirmé la défiance des firmes occidentales, mises en garde par les Etats-Unis.
A la mi-journée mardi, à quelques heures de la clôture attendue, la demande pour cette opération test atteignait 6,3 milliards de dollars, ont rapporté les agences russes en citant des sources bancaires.
Le ministère russe des Finances, en annonçant lundi la tenue de cette émission de dette publique, n'avait pas précisé le montant espéré mais ce résultat encore non définitif dépasse de toute façon l'objectif.
La loi de budget prévoit, pour ce type d'emprunts, un maximum de trois milliards de dollars sur l'ensemble de l'année 2016.
Allemagne : La bourse de Francfort a bondi mardi, l'indice Dax s'envolant de plus de 2% pour reconquérir la barre des 10,000 points.
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