Suisse : Le swiss market index est parvenu malgré tout la veille à défendre les 8800 points.
La bourse suisse a entamé la séance de mercredi sur une hausse, après avoir évolué dans le rouge depuis le début de la semaine.
La bourse suisse poursuivait son rebond mercredi midi, après avoir évolué dans le rouge depuis le début de la semaine.
France : La bourse de Paris profite d'un léger rebond mercredi matin après avoir aligné cinq séances consécutives de baisse sur fond de tensions géopolitiques et de vigueur persistante de l'euro.
Le marché parisien avait réussi à limiter la casse hier (-0,9%) après avoir effectué une brève incursion sous les 5000 points.
Si une remontée vers les 5040 points avait ensuite pu se matérialiser grâce à la résistance de wall street, qui a clôturé dans le vert, les chartistes font remarquer que la cassure du plancher important des 5066 points est désormais actée.
'Les incertitudes liées aux conséquences économiques de l'ouragan Harvey, les inquiétudes concernant le tir de missile nord-coréen, le blocage des négociations sur le Brexit et la remontée des indicateurs économiques en zone euro, tout cela a fini par générer une sorte de tempête parfaite ('perfect storm') sur les marchés', résume un opérateur.
Zone euro : Les indices actions européens repartent à la hausse sur fond de décrue de l'euro, au lendemain d'une incursion au-dessus de 1,20 dollar.
La monnaie unique européenne refluait ce midi sous la barre symbolique des 1,20 dollar dépassée hier pour la première fois depuis le début de l'année 2015.
Etats-Unis : wall street devrait ouvrir sans grand changement mercredi matin, interrompant son redressement de la veille, malgré une révision en nette hausse de la croissance du PIB américain du deuxième trimestre.
Une demi-heure avant l'ouverture, les contrats à terme sur les principaux indices américains évoluent tous autour de l'équilibre, annonçant un début de séance relativement stable.
Le produit intérieur brut des Etats-Unis a progressé à un rythme annualisé de 3% au deuxième trimestre, à en croire le Département du Commerce, qui n'avait annoncé qu'une croissance de 2,6% en précédente estimation.
Cette révision s'avère donc plus forte que prévu, puisque les économistes n'espéraient en moyenne qu'un taux de 2,7%.
0 Commentaire