Suisse : La bourse suisse a ouvert en baisse mardi, cédant ses modestes gains de la veille sur fond de tensions politiques grandissantes entre Washington et Pyongyang.

La bourse suisse évoluait sur une note juste positive mardi en milieu de séance, effaçant les pertes de la matinée, grâce à la progression de son poids lourd Nestlé.
France : La bourse de Paris restait à proximité de l'équilibre ( 0,05%) mardi à la mi-journée, les investisseurs continuant à se montrer réservés au vu des nombreuses sources d'instabilité politique.
La bourse de Paris enregistrait une très légère hausse mardi ( 0,07%) dans le sillage de l'ouverture dans le vert de wall street, le marché se montrant néanmoins prudent sur fond d'incertitudes géopolitiques.
Etats-Unis : Le gendarme américain de la bourse (SEC) a annoncé lundi la création d'une unité spéciale dédiée à la chasse aux fraudes liées au piratage informatique, signe de l'intensification de cette lutte au moment où se multiplient ce genre d'affaires.
Les indices actions nord-américains semblent se diriger vers une ouverture hésitante ce mardi, avec une stabilité attendue pour le Dow Jones et le S§P500, et une progression de l'ordre de 0,3% pour le nasdaq.
Lundi soir, le Dow Jones a perdu 0,2% à 22296,1 points, tout comme le S§P500 à 2496,7 points, et le nasdaq a chuté de 0,9% à 6370,6 points, sur fond d'inquiétudes accentuées par les dernières déclarations nord-coréennes.
Zone euro : La plupart des places européennes évoluent à proximité de l'équilibre au cours d'une séance plutôt calme.
Un peu avant 11h, le CAC 40 est stable, alors que le footsie MIB (Milan) et l'AEX (Amsterdam) grignotent 0,1% environ et qu'à Bruxelles le BEL 20 avance de 0,2%.
A l'inverse, le Dax s'effrite de 0,1%.
Allemagne : Mardi midi sur le marché des devises, la monnaie unique européenne poursuivait le repli amorcé hier (-0,85%) en reculant de nouveau de 0,20% contre la devise américaine, à 1,1823 dollar.
Une tendance similaire vaut également contre le yen et le sterling, même si l'euro grappille 0,12% contre le franc suisse, à 1,1471.
La devise de l'Eurozone continue de souffrir du résultat des élections législatives allemandes : si Angela Merkel a remporté la victoire et pourrait donc se qualifier pour un 4e mandat de chancelière, le score de son parti, la CDU/CSU, a diminué.
Ce qui va contraindre le parti chrétien-démocrate à former une alliance non plus avec le SPD, passé dans l'opposition, mais avec les Verts et les libéraux du FDP.
'Angela Merkel risque de perdre en influence et la dynamique de plus grande intégration de la zone euro pourrait alors perdre de sa force', commentent La Banque Postale (LBP) AM.
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