Rien ne semble empêcher wall street d’inscrire des nouveaux records.
Le S§P 500 devrait continuer à progresser à court terme mais le risque de correction devient important.
En effet,, la bourse de New York a ouvert en hausse mercredi avec une nouvelle fois des records à la clé, la réactivité de la Chine face à l'épidémie de coronavirus rassurant les marchés financiers tandis que les résultats d'entreprises sont de retour au premier plan.
L'indice Dow Jones a gagné 100,53 points à l'ouverture, soit 0,34%, à 29,296,57 points.
Le Standard'Poor's 500 a progressé de 0,42% à 3,334,64 points, battant un nouveau record.
Les bourses européennes ont terminé dans le rouge mercredi suite à la démission de Di Maio et rattrapées par les inquiétudes sur la propagation de coronavirus chinois et les menaces de Donald Trump sur l'automobile européen.
À Paris, le CAC 40 a terminé en baisse de 0,58% à 6010,98 points.
Les actions italiennes en baisse suite à la démission de Di Maio
Le FTSE MIB a perdu 156 points, soit 0,7 %, pour atteindre 23 689 points mercredi, les banques étant parmi les moins performantes puisque Luigi Di Maio va démissionner de son poste de leader du Five Star Movement.
Le DAX 30 a effacé ses gains
Le DAX 30 a effacé ses gains antérieurs et a clôturé en baisse de 0,3 % à 13 516 mercredi, après avoir atteint un record en intrajournalier pour la première fois en près de deux ans, après que le président américain Trump ait renouvelé sa menace d'imposer des droits de douane sur les voitures de l'UE si l'Union ne parvient pas à un accord commercial.
Les actions allemandes ont fluctué près des records pendant la session, des données plus solides que prévu montrant que le moral des investisseurs a atteint son plus haut niveau depuis 2015, tandis que les inquiétudes concernant une pandémie mondiale se sont atténuées après que Pékin a annoncé des mesures pour contenir la propagation du coronavirus.
Les actions américaines rebondissent alors que l'attention se porte sur les bénéfices
wall street s'est échangé à la hausse mercredi, le S§P 500 et le nasdaq atteignant des sommets, alors que les bénéfices trimestriels d'IBM, meilleurs que prévu, ont remonté le moral.
Pendant ce temps, les actions de Johnson'Johnson étaient sous pression après que la firme ait affiché un manque à gagner sur les revenus trimestriels, tandis que les actions de Netflix sont devenues négatives, la société connaissant un début difficile jusqu'en 2020 malgré une forte croissance des abonnés au quatrième trimestre.
NETFLIX : Netflix devrait marquer le pas sous sa résistance moyen terme des 340 USD.
Le timing apparaît opportun sous ce niveau pour profiter d'une correction, d'autant plus avec les récentes révisions baissières des perspectives bénéficiaires de la société et des prévisions prudentes pour le T1 2020.
On pourra se positionner à la vente pour viser les 293,1 USD, par l'intermédiaire du turbo put infini Citigroup 486PC qui cote 7,73 EUR.
La réalisation de ce scénario permettrait de réaliser un gain de l'ordre de 50% pour ce produit dérivé.
INTEL : Intel a annoncé mardi soir la nomination d'Omar Ishrak à la présidence de son conseil d'administration, avec prise d'effet immédiate.
Ishrak -qui siégeait jusqu'à présent en tant qu'administrateur indépendant - remplace Andy Bryant, qui était président du conseil depuis 2012 et qui a décidé de quitter ses fonctions afin de faciliter une transition 'efficace'.
Ishrak occupe depuis 2011 le poste de PDG du spécialiste des dispositifs médicaux Medtronic.
Intel a également annoncé mardi l'arrivée à son conseil, et en qualité d'administratrice indépendante, d'Alyssa Henry, une femme d'affaires de 49 ans issue du monde des start-ups notamment passée chez Amazon et chez le spécialiste des paiements mobiles Square.
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