Les contrats à terme sur le Dow s'échangent à l’équilibre jeudi, après avoir gagné 0,7 % lors de la séance précédente, le marché semble avoir faiblement réagi au dernier rapport sur les inscriptions au chômage aux Etats-Unis.
La bourse de paris gagne quelques fractions, l’annonce d’un repli des inscriptions au chômage à 1,31 million la semaine dernière, contre 1,37 millions attendues, venant épauler les signes de reprise économique en Chine.
michelin gagne 1,7%.
RBC a entamé la couverture du pneumaticien à « surperformance » pour viser 112 euros.
A l’inverse, Citi a dégradé Engie (-2,1%) de « achat » à « neutre ».
La recrudescence de la pandémie de coronavirus dans le monde limite cependant la hausse du marché après un recul de près de 2% du Cac 40 en deux jours.
Les investisseurs tentent d'évaluer l'impact de la hausse des infections liées au coronavirus sur la reprise économique.
Récemment, plusieurs responsables de la Fed ont émis de nouveaux doutes quant à la durabilité de la reprise américaine.
Le nombre total de cas confirmés de coronavirus a dépassé 12,16 millions, dont plus de 552 000 sont décédés et plus de 7,06 millions se sont rétablis.
Melbourne est officiellement entrée dans une période de confinement de six semaines.
Entre-temps, l'État de Victoria a signalé 165 nouvelles infections par coronavirus hier, tandis que la Nouvelle-Galles du Sud a enregistré 13 nouveaux cas Les USA ont signalé plus de 60 000 nouveaux cas de coronavirus, le nombre d'infections par COVID-19 a dépassé les 3 millions et les Etats-Unis restent les plus touchés au monde.
Mercredi, le Dow Jones a ajouté 177 points, soit 0,7 %, pour atteindre 26 067 points.
Le S§P 500 a gagné 25 points ou 0,8 %, à 3170.
Le nasdaq a gagné 149 points ou 1,4 %, à 10 493.
Un autre État australien, le Queensland, a fermé sa frontière avec le Victoria.
Tokyo a fait état de 75 nouvelles infections par le coronavirus hier, contre 106 mardi En Chine, l'indice CSI 300 des principales capitalisations du pays a enregistré sa huitième hausse consécutive, du jamais vu depuis deux ans, portant à près de 18% sa progression depuis le 29 juin.
Ce mouvement, qui profite en premier lieu aux grandes valeurs technologiques, l'emporte pour l'instant aux yeux des investisseurs sur les risques liés à la pandémie de coronavirus, malgré les chiffres toujours élevés de nouveaux cas de contamination enregistrés entre autres aux Etats-Unis.
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