La croissance chinoise déçoit, les résultats aussi. L'accord sur le Brexit ne rassure pas vraiment. L'économie américaine résiste encore.
Celle de la zone euro inquiète davantage.
Draghi choisit ce moment pour tirer sa révérence.
A wall street, le marché est attendue sans grand changement vendredi et les bourses européennes évoluent en ordre dispersé alors que le ralentissement économique chinois, les doutes sur le Brexit et des avertissements d'entreprises incitent à la prudence.
Les futures sur indices new-yorkais signalent une ouverture de wall street proche de l'équilibre.
Les bourses européennes évoluent en ordre dispersé alors que le ralentissement économique chinois, les doutes sur le Brexit et des avertissements d'entreprises incitent à la prudence.
À Paris, le CAC 40 perd 0,3% à 5,655,89 vers 11h30 GMT, pénalisé par la chute de renault, qui a révisé à la baisse ses objectifs annuels.
À Francfort, le Dax avance de 0,15% et à Londres, le FTSE prend 0,15%.
L'indice paneuropéen FTSEurofirst 300, l'EuroStoxx 50 de la zone euro et le Stoxx 600 sont stables.
Des actions européennes en baisse les investisseurs s'inquiétant de l'accord Brexit
Les marchés boursiers européens se sont négociés à la baisse vendredi matin, les investisseurs s'inquiétant de l'accord Brexit conclu hier entre le Royaume-Uni et l'UE, car il n'est pas certain qu'il sera approuvé demain par le Parlement britannique et l'effet de la guerre commerciale prolongée sur la croissance mondiale, après que la Chine a affiché sa plus faible croissance du PIB depuis presque trois décennies.
Les valeurs automobiles (-2,3 %) ont été parmi les moins performantes après la dégradation des perspectives de chiffre d'affaires et de résultat de renault cette année.
Les actions chinoises chutent après les données du PIB
L'indice Shanghai Composite a chuté de 39 points, soit 1,3 %, à 2 938 vendredi, sa plus forte baisse quotidienne en un mois, après que les dernières données aient montré que l'économie chinoise avait ralenti plus que prévu au troisième trimestre et affiché son plus faible taux de croissance depuis près de trois décennies.
Pendant ce temps, les autres principaux indices boursiers de la région Asie-Pacifique ont terminé en baisse, en grande partie à cause du ralentissement économique mondial : le Hang Seng a perdu 141 points, soit 1,5 %, à 26 707 ; le Kospi a perdu 17 points, soit 0,8 %, à 2 061 ; le S§P/ASX 200 d'Australie, 35 points ou 0,5 %, à 6 650, et le nikkei 225 a gagné 41 points ou 0,2 % à 22 493, soit une baisse.
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