Bourse : Le CAC 40 termine dans le rouge après la BCE, Pluxee recherché
Jeudi 17 avril 2025 17:53
La séance d'ouverture à la Bourse de New York mardi affiche une légère progression, portée par l'espoir de futures baisses des taux d'intérêt aux États-Unis l'année prochaine.
Compte tenu des vacances de nombreux acteurs du marché, les échanges devraient rester limités cette semaine.
De plus, l'agenda économique est peu chargé, ne prévoyant que les inscriptions au chômage jeudi.
Wall Street semble maintenir sa dynamique positive, enregistrant huit semaines consécutives de hausse, une performance inédite depuis fin 2017 pour le S&P-500, l'indice de référence des investisseurs, qui se rapproche à moins de 1 % de son plus haut niveau de clôture enregistré en janvier 2022.
La bourse de New York débute la semaine dans le vert, Intel à l'honneur
En ce début de semaine écourtée, coincée entre les fêtes de Noël et du Nouvel An, le Dow Jones démarre en gagnant 56 points, soit 0,15 %, pour atteindre 37442 points.
Dans le même temps, le Standard & Poor's 500 progresse de 0,10 % à 4759 points et le Nasdaq Composite affiche une augmentation de 0,20 %, soit 33 points de plus à 15026.
Dans le secteur des entreprises, Intel voit ses actions grimper de près de 3 % suite à l'annonce d'un investissement de 25 milliards de dollars en Israël, dont 3,2 milliards provenant d'incitations gouvernementales.
Manchester United enregistre également une progression, avec un bond de 1,7 %, grâce à un accord conclu avec le milliardaire britannique Jim Ratcliffe.
En revanche, Apple Inc.
fait face à un revers alors que la Maison Blanche maintient l'interdiction de vente de ses smartwatches aux États-Unis.
D'autre part, Bristol Myers Squibb a accepté d'acquérir RayzeBio, spécialiste du développement de médicaments radiologiques, pour environ 4,1 milliards de dollars.
Sur le front économique, les données récentes indiquent une hausse continue des prix de l'immobilier aux États-Unis pour le neuvième mois consécutif, atteignant ainsi un nouveau record.
Cette tendance est alimentée par une offre limitée de logements, engendrant une concurrence féroce entre les acheteurs.
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