La défiance restait le maître mot lundi sur les marchés avec de sévères reculs boursiers tant en Asie qu'en Europe, liés aux inquiétudes sur les négociations en cours aux Etats-Unis pour un plan de relance géant, ainsi qu'à une cascade d'avertissements sur résultats.
Entre l'impasse à Washington sur un plan de relance et la cascade d'avertissements sur résultats, les marchés boursiers avaient débuté du mauvais pied, mais les annonces de la Fed ont permis de réduire les pertes en Europe.
La bourse de New York a ouvert en baisse lundi malgré l'annonce par la Réserve fédérale de mesures sans précédent pour soutenir les marchés du crédit aux entreprises et aux ménages américains et tenter ainsi de limiter l'impact économique de la pandémie de coronavirus.
A l'ouverture et malgré l'annonce de nouvelles mesures de la Réserve fédérale (Fed) pour tenter d'atténuer l'impact économique du coronavirus: le Dow Jones cédait 1,65% et le nasdaq 0,47%.
La bourse de paris a quasiment effacé ses pertes de la matinée après l’annonce par la réserve fédérale américaine d’un renforcement de son programme d’achat d’actifs sans limite de durée.
Après avoir cédé jusqu’à 4,88% au plus bas du jour, la bourse de paris est repassée dans le vert à l’annonce par la Fed d’un renforcement massif de son programme d’achat d’actifs destiné à soutenir les marchés.
la réserve fédérale américaine s’est notamment engagée à poursuivre ses achats dans le cadre de son QE sans limite de durée
Les actions américaines manquent de direction
wall street a oscillé entre gains et pertes à l'ouverture, les investisseurs restant très préoccupés par l'impact du coronavirus, alors que le nombre de cas aux Etats-Unis a dépassé les 35 000 et que de plus en plus d'États émettent des ordres de séjour chez eux.
L'humeur des investisseurs s'est légèrement améliorée après que la Fed ait annoncé de nouvelles mesures de grande envergure pour soutenir l'économie, notamment un programme d'achat d'actifs dans les montants nécessaires pour soutenir le bon fonctionnement du marché et la mise à disposition de nouveaux financements pouvant atteindre 300 milliards de dollars pour les employeurs, les consommateurs et les entreprises.
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