Zone euro : Les bourses européennes se montrent hésitantes (stabilité à Paris et à Francfort, 0,2% à Londres), sur fond de confirmation par eurostat d'une croissance de 0,4% du PIB de la zone euro au premier trimestre 2018.
L'office précise que les contributions de la dépense de consommation finale des ménages, de la formation brute de capital fixe et des variations de stocks ont été positives, alors que celle du commerce extérieur a été négative.
'Nous nous attendons à ce que l'économie de la zone euro demeure fermement en terrain d'expansion', juge Barclays, tout en notant les risques liés à la politique en Italie et en Espagne, aux menaces sur le commerce mondial et aux prix du pétrole.
Annoncées plus tôt dans la matinée, les commandes à l'industrie allemande ont chuté de 2,5% en avril 2018 par rapport au mois précédent, là où les économistes anticipaient pourtant une progression de 0,6% en moyenne.
'S'il est en partie lié à une chute significative des commandes en autres véhicules, catégorie toujours très volatile, ce chiffre n'en demeure pas moins négatif pour le quatrième mois de suite', souligne Commerzbank.
France : La bourse de Paris était toujours en hausse à la mi-journée mais freinait la cadence ( 0,19%), hésitant à se positionner sur fond d'incertitudes géopolitiques.
Le marché a terminé en léger recul jeudi (-0,17%), les investisseurs optant finalement pour la prudence à la veille d'un G7 qui s'annonce difficile en raison des tensions commerciales entre Washington et ses partenaires.
L'indice CAC 40 a cédé 9,20 points à 5448,36 points, dans un volume d'échanges moyen de 3,5 milliards d'euros.
La veille, il avait fini quasi stable à 0,06%.
Après une ouverture et une matinée dans le vert, la cote Parisienne a progressivement changé de tendance.
Etats-Unis : wall street montait à l'ouverture jeudi, soutenue par des avancées dans les négociations entre les Etats-Unis et la Chine, à la veille d'un sommet international à risques.
La bourse de New York évolue en ordre dispersé jeudi, se contentant de se maintenir près de ses records historiques en dépit de la faiblesse du dollar.
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