Zone euro : Les investisseurs commencent à prendre leurs bénéfices.
Les opérateurs actifs sur les marchés boursiers ont commencé cette semaine à alléger les positions les plus juteuses de leurs portefeuilles en prévision d’un changement de météo financière.
C'est que la saison des giboulées est proche, et les espoirs qui ont nourri la hausse des valeurs ces derniers mois commencent lentement à s'estomper.
On pense ici aux promesses électorales de Donald Trump qui a ranimé quelques fois déjà l'enthousiasme des investisseurs en évoquant un véritable tsunami fiscal propre à relancer durablement l'économie américaine.
Parmi ces propositions, l'entourage du nouveau président a répété la volonté de ce dernier de déréguler partiellement le secteur financier, ce qui a soutenu les banques.
Enfin, Steve Mnuchin, secrétaire américain au Trésor, a évoqué le principe d'une croissance durable de l'ordre de 3 %.
Etats-Unis : Et de 11! C'est étourdissant.
les termes 'consolidation', 'pause', 'pullback' sont comme bannis du vocabulaire boursier depuis l'élection de Donald Trump.
Il semble logique de qualifier ce mouvement perpétuel à la hausse de 'Trump rallye' : jamais en 121 ans (la 1ère cotation du Dow jones remonte à 1896) aucun indice US n'a jamais inscrit 11 records de clôture consécutifs.
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