La bourse de New York repartait de nouveau en forte baisse jeudi après avoir hésité à l'ouverture, ne parvenant pas à rebondir malgré les plans massifs de soutien à l'économie proposés par les autorités.
Vers 13H50 GMT, son indice vedette, le Dow Jones Industrial Average, perdait 3,28%, à 19,246,39 points.
Il est tombé sous le niveau auquel il évoluait le jour de l'arrivée au pouvoir de Donald Trump, le 20 janvier 2017.
La bourse de paris baissait également à la mi-journée (-0,21%), rattrapée par les craintes liées à la progression du virus malgré le soulagement engendré par le plan massif annoncé par la BCE.
A 13H51 (12H51 GMT), l'indice CAC 40 reculait de 7,83 points à 3,747,01 points.
La veille, il avait reculé de 5,94%.
Pourtant après une séance hésitante l'Europe et la bourse de New York se redressent actuellement, les indices tentant de rebondir après une nouvelle journée difficile malgré les plans massifs de soutien à l'économie proposés par les autorités.
Vers 14H25 GMT, son indice vedette, le Dow Jones Industrial Average, prenait 0,29%, à 19,956,91 points, après avoir lâché jusqu'à 3,6% après l'ouverture.
Le nasdaq, emporté par des groupes comme Tesla ( 15%) et Expedia ( 12%), gagnait 2,04%, à 7,132,46 points, après avoir évolué en dents de scie en tout début de séance.
Netflix s'envolait de 7% et Facebook de 5%.
L'indice élargi S§P 500 montait de 0,34%, à 2,406,14 points.
wall street repart à la hausse
wall street a effacé ses pertes et a enregistré une légère hausse jeudi, après une autre forte vente la veille, qui a vu le Dow Jones clôturer à son plus bas niveau depuis trois ans.
Malgré cela, les craintes d'une grave récession se sont accrues malgré les plans de relance massifs des principales banques centrales et des gouvernements du monde entier, les données montrant que les demandes d'allocations de chômage aux États-Unis ont atteint leur plus haut niveau depuis 2017, la crise Covid-19 ayant porté atteinte aux entreprises et à l'emploi.
La Fed a annoncé qu'elle donnerait accès à 450 milliards de dollars de lignes de swap à neuf banques centrales, tandis que la BCE a lancé de nouveaux achats d'obligations d'une valeur de 750 milliards d'euros (817 milliards de dollars).
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