Bourse : Le CAC 40 termine stable, Atos s'envole, Wall Street salue la nomination de Scott...
Lundi 25 novembre 2024 18:10
La bourse de new york devrait ouvrir sur une note négative et les marchés européens, à l'issue d'une brêve incursion dans le vert, baissent jeudi en milieu de journée, la peur d'une augmentation des cas d'infection au coronavirus refait surface et inquiète les investisseurs sur le redémarrage de l'économie mondiale.
Les contrats à terme sur indices new-yorkais annoncent une ouverture en baisse avec un Dow Jones qui devrait perdre plus de 100 points, le S§P 500 plus de 10 et le nasdaq plus de 10 également.
Les investisseurs digèrent la probabilité d'une deuxième vague d'infections du coronavirus et la nécessité d'un nouveau confinement et d'un arrêt économique.
Selon CNN, Dix États américains ont enregistré leur plus forte progression de nouveaux cas de coronavirus sur une période de sept jours, le Texas a connu une hausse de 11 % des hospitalisations.
En Chine, l'épidémiologiste en chef du Centre chinois de prévention et de contrôle des maladies a déclaré que la récente épidémie de Pékin avait été maîtrisée.
Mercredi, le Dow Jones a perdu 170 points, soit 0,7 %, pour s'établir à 26 120.
Le S§P 500 a reculé de 11 points, soit 0,4 %, pour s'établir à 3114.
En revanche, le nasdaq a gagné 15 points, soit 0,2 %, à 9911.
La bourse de paris restait mal orientée jeudi à la mi-journée (-1,01%), la circonspection étant de mise au regard de la recrudescence des contaminations notamment en Chine.
A 13H21 (Heure de Paris), l'indice CAC 40 perdait 50,27 points à 4945,70 points.
La veille, il avait gagné 0,88%.
La cote parisienne a débuté dans le rouge et après avoir tenté timidement de se reprendre est repartie clairement en baisse.
Sur le front des valeurs, les grandes cycliques comme Airbus et ArcelorMittal accusent les plus fortes baisses du Cac 40 en cédant plus de 3%.
A l’inverse, STMicroelectronics progresse de 2,5%.
Liberum estime que les fabricants de semi-conducteurs devraient connaître une forte hausse du prix de leurs actions au cours des prochains trimestre à la faveur du développement du télétravail.
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