France : La France comptait fin 2015, quelque 2,86 millions de chômeurs au sens du BIT.Au quatrième trimestre le taux de chômage a atteint 10% et retrouvé son niveau de début d’année.
Le taux de chômage a terminé l'année 2015 sur une légère baisse (-0,1 point), redescendant au 4e trimestre à 10% de la population active en métropole et à 10,3% avec l'Outre-mer, a annoncé l'Insee jeudi.
L'année 2015 s'est conclue sur un note positive: le taux de chômage, mesuré par l'Insee, est redescendu à 10% en métropole au 4e trimestre, un 'signal encourageant' pour le gouvernement à l'aube d'une année décisive.
L'indicateur a aussi baissé de 0,1 point en France entière (avec l'Outre-mer), pour s'établir à 10,3% de la population active, a annoncé jeudi l'Institut national de la statistique.
Des évolutions toutefois à analyser avec prudence, car elles se situent dans la marge d'erreur de l'indicateur ( /-0,3 point).
Interrogée par France 2, la ministre du Travail, Myriam El Khomri, y a tout de même vu un 'signal encourageant', alors que le gouvernement espère une inversion de la courbe du chômage en 2016.
Sur un an, le taux, mesuré selon les normes du Bureau international du travail (BIT), s'est aussi replié, de 0,1 point en métropole et de 0,2 point en France entière.
Le taux de chômage français, au sens du Bureau international du travail, a été dévoilé jeudi 3 mars.
La France apparaît à la traîne en Europe lorsqu’on considère cet indicateur, qui permet les comparaisons internationales.
Zone euro : La perte exacte enregistrée par Deutsche Bank en 2015 sera révélée lors de la publication du rapport annuel de la banque, le 11mars prochain.
Le compteur s'est arrêté provisoirement fin janvier à 6,8milliards d'euros.
Une dimension déjà historique pour la banque bicentenaire.
Les perspectives pour les petites et moyennes entreprises (PME) du secteur industriel demeurent 'sombres', alors que les grandes sociétés souffrent moins, ont indiqué jeudi les économistes d'UBS.
En l'espace de trois mois, le baromètre UBS des PME s'est dégradé.
Les grandes sociétés du secteur industriel souffrent en revanche moins de la situation économique actuelle.
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