Zone euro : Un an après la mise en place des contrats d'insertion, dont l'objectif est de remettre à l'emploi les jeunes en situation de chômage longue durée à Bruxelles, le bilan est mitigé, avec seules 283 personnes qui ont bénéficié de la mesure, rapporte Le Soir mardi.

Au 30 juin 2017, 283 jeunes avaient signé un contrat d'insertion d'un an, a répondu le ministre régional de l'Emploi Didier Gosuin, à une question parlementaire.
En termes quantitatifs, l'objectif est rempli à 43 % car l'objectif est d'atteindre 655 contrats.
Au parlement bruxellois, le ministre a reconnu qu'il s'attendait à ce que cela aille plus vite.
Un des obstacles est la difficulté de recruter, avec un taux de présence des jeunes convoqués aux entretiens de 48% seulement.
Suisse : Il y a longtemps que les perspectives économiques ne s'étaient pas avérées aussi positives.
Pour la faîtière, les employés doivent aussi en profiter.
La reprise doit impérativement profiter aux salariés, exhorte à son tour Travail.
Suisse.
L'organisation faîtière réclame des hausses de salaires d'environ 2% pour la majorité des employés.
France : Le déficit commercial de la France se creuse en juin pour atteindre 4,7 milliards d'euros contre 4,4 milliards le mois précédent, selon données corrigées de variations saisonnières et calendaires (CVS-CJO) de l'administration des douanes.
A 39,2 milliards d'euros, les exportations françaises refluent partiellement (-2,8% après 5% en mai), reflux qui se concentre sur les produits des industries navale, aéronautique, automobile et pharmaceutique.
Elles se contractent ainsi de façon plus marquée que les importations (-2% après 2% en mai), à 43,8 milliards.
On relève de moindres approvisionnements énergétiques, pharmaceutiques, aéronautiques, spatiaux, agroalimentaires et en biens intermédiaires.
Le solde des transactions courantes de la France est déficitaire de 2,1 milliards d'euros selon les données cvs-cjo de la Banque de France, à un niveau proche de celui observé en mai (-1,9 milliard).
Le déficit des biens s'accentue légèrement à -3,4 milliards, sous l'effet d'exportations de marchandises moins dynamiques que les importations.
L'excédent des services évolue peu, à 0,2 milliard, les soldes des voyages et des autres services restant proches de l'équilibre.
Au compte financier (non cvs), les investissements directs se soldent par des sorties nettes de 3,1 milliards, les investissements de portefeuille présentent des entrées nettes de 10,8 milliards, et les prêts et emprunts enregistrent des sorties nettes de 22,4 milliards.
Le déficit commercial de la France s'est creusé en juin, notamment à cause d'un contrecoup dans l'industrie navale, alors qu'il s'était fortement réduit en mai grâce à la livraison du paquebot de croisière Meraviglia, ont annoncé mardi les Douanes.
Le déficit a augmenté d'un peu plus de 200 millions d'euros pour s'établir à 4,7 milliards d'euros, selon cette source.
Il était de 4,4 milliards d'euros en mai, ont précisé les Douanes après avoir révisé leur chiffre (d'abord établi à 4,9 milliards d'euros pour le mois de mai) en prenant en compte les variations saisonnières.
Sur douze mois, le déficit cumulé a atteint 59,8 milliards, contre 50,2 milliards d'euros pour la même période en 2016.
En juin, les exportations ont diminué (-2,8% après 5,0% en mai), avec une 'détérioration notamment considérable pour l'industrie navale, en contrecoup de la livraison du paquebot Meraviglia en mai' qui avait permis une hausse des ventes pour ce mois-là.
Chine : La Chine a vu ses échanges se modérer et son excédent commercial gonfler en juillet, les importations et exportations du géant asiatique connaissant un ralentissement inattendu, de nature à aviver les interrogations sur la demande intérieure du géant asiatique.
Le pays, au coude-à-coude avec les Etats-Unis pour le titre de première puissance marchande du globe, a vu ses importations grimper de 11% sur un an en juillet, à 146,9 milliards de dollars, a annoncé mardi l'Administration des douanes.
C'est bien en-deçà du bond de 17,2% enregistré en juin et très inférieur aux attentes des analystes sondés par l'agence Bloomberg, qui tablaient en moyenne sur une progression de 18%.
De leur côté, les exportations de la deuxième économie mondiale se modéraient elles aussi, bien qu'enregistrant un ralentissement moins brutal: elles s'affichent pour juillet en hausse de 7,2% sur un an, à 193,65 milliards de dollars.
Là-encore, c'est très en-deçà des prévisions (les analystes anticipaient un rythme de croissance stable, à 11%), et la marque d'un essoufflement après l'accélération des mois précédents.
Allemagne : L'Allemagne a généré un excédent commercial de 21,2 milliards d'euros en juin 2017, à comparer à 20,3 milliards le mois précédent, selon des données corrigées de variations saisonnières et calendaires de l'office fédéral de statistiques.
Cette légère progression d'un mois sur l'autre résulte d'une diminution de 2,8% des exportations allemandes, alors que les importations se sont contractées dans le même temps de 4,5%.
En données brutes, l'Allemagne a vu son excédent commercial passer de 22 milliards d'euros en mai à 22,3 milliards en juin, et son excédent courant passer de 16 à 23,6 milliards.
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