Le taux de chômage au Royaume-Uni redescend à son plus bas niveau depuis le milieu des années 1970
Le taux de chômage du Royaume-Uni a chuté à 3,8 % au cours des trois mois se terminant en juillet 2019, revenant à son niveau le plus bas depuis la période d'octobre à décembre 1974 et légèrement inférieur aux attentes du marché, soit 3,9 %.Le nombre de chômeurs a diminué de 11 000 pour s'établir à 1,294 million et l'emploi a augmenté de 31 000 pour atteindre 32,777 millions, soit une augmentation inférieure aux prévisions de 53 000.
Entre-temps, la croissance totale des salaires s'est accélérée jusqu'à 4 %, soit le taux le plus rapide depuis le milieu de 2008.
Les salaires au Royaume-Uni sont ceux qui ont le plus augmenté en plus de 11 ans
Les revenus totaux des travailleurs britanniques, y compris les primes, ont augmenté de 4 % par an pour atteindre 542 livres sterling par semaine au cours des trois mois se terminant en juillet 2019, soit le rythme le plus rapide depuis les trois mois se terminant en juin 2008, après une hausse révisée à la hausse de 3,8 % au cours de la période précédente et une hausse supérieure aux prévisions du marché de 3,7 %.
La croissance des salaires s'est accélérée dans le secteur privé (4,1% vs 4%) ; les services (4,2% vs 3,9%), à savoir la finance et les services aux entreprises (5,3% vs 4,8%) ; la construction (6,2% vs 6,1%) et le commerce de gros, la distribution, les hôtels et restaurants (2,8% vs 2,4%), mais a ralenti dans le secteur public (3,7% vs 4%) et la fabrication (2,4% vs 2,6%).
Hors bonus, les bénéfices ont progressé de 3,8% à 507 livres sterling par semaine, après une hausse de 3,9% au cours de la période précédente et correspondant aux attentes du marché.
En termes réels, les bénéfices, y compris les primes, ont augmenté de 2,1 %, et ceux qui excluent les primes ont augmenté de 1,9 %.
L'optimisme des petites entreprises américaines se détériore en août
L'indice d'optimisme des petites entreprises de la NFIB a chuté de 1,6 point par rapport au mois précédent pour s'établir à 103,1 en août 2019, car moins de propriétaires ont dit s'attendre à de meilleures conditions commerciales et à des volumes de ventes réels dans les prochains mois.
Néanmoins, la création d'emplois s'est accélérée, les tendances positives en matière de bénéfices se sont améliorées et la progression des ventes d'un trimestre à l'autre est restée forte.
L'indice d'incertitude a augmenté de 4 points, ce qui donne à penser que les propriétaires de petites entreprises hésitent à prendre des engagements de dépenses importants.
Le principal obstacle à une plus grande croissance est le niveau record d'absence de travailleurs qualifiés.
La production industrielle italienne chute plus que prévu
La production industrielle de l'Italie s'est contractée de 0,7 pour cent par rapport au mois précédent en juillet 2019, après une baisse révisée de 0,3 pour cent en juin et par rapport aux prévisions du marché de 0,2 pour cent de baisse.
La production de biens d'équipement a diminué le plus (-1,6 % contre -0,3 %), suivie des biens de consommation non durables (-0,6 %, comme en juin) et des biens intermédiaires (-0,2 % contre -0,5 %).
En revanche, la production d'énergie a augmenté de 1,3 % (contre 2,4 % en juin) et la production de biens de consommation durables a rebondi de 0,9 % (contre -1,1 % en juin).
Rebond de la production industrielle française en juillet
La production industrielle en France a augmenté de 0,3 pour cent par rapport au mois précédent en juillet 2019, après une baisse de 2,3 pour cent en juin, mais en l'absence d'un consensus du marché de 0,5 pour cent.
La production manufacturière a augmenté de 0,3 %, rebondissant après une baisse de 2,2 %, stimulée par le matériel de transport (0,6 % contre -3,2 % en juin), le coke et les produits pétroliers raffinés (5,5 % contre -9,2 %) et les autres secteurs manufacturiers (0,7 % contre -2,5 %).
En outre, la production des mines et carrières, de l'énergie et de l'eau a diminué à un rythme moins rapide (-0,1 % contre -3 %).
Français T2 Salaires Emploi Révision à la baisse de l'emploi
L'emploi salarié français dans le secteur privé a augmenté de 45,8 milliers, soit 0,2 %, pour atteindre 19,59 millions au deuxième trimestre 2019, en baisse par rapport à une estimation préliminaire de 0,3 % et en hausse de 0,5 % par rapport à la période précédente.
La création nette d'emplois privés dans les services marchands a augmenté de 33,6 milliers (contre 73,4 milliers au premier trimestre), tandis que celle de l'industrie a augmenté de 1,3 milliers (contre 7,5 milliers au premier trimestre).
En outre, l'emploi a augmenté dans l'agriculture (1,9 mille contre 1,3 mille) et dans la construction (6,4 mille contre 17,4 mille).
En glissement annuel, l'emploi salarié dans le secteur privé a augmenté de 251,2 milliers, soit 1,3 pour cent.
France : Les créations d'emploi ont ralenti au second trimestre en France, progressant moins vite qu'au premier, mais elles restent néanmoins sur une tendance de long terme positive dans un environnement économique européen difficile.
D'avril à juin, le secteur privé a enregistré 45,800 créations nettes de postes, soit une hausse de 0,2%, après 0,4% au trimestre précédent, selon l'estimation définitive de l'Insee.
Ces créations sont deux fois plus faibles que celles du premier trimestre, qui étaient particulièrement élevées avec 100,400 emplois.
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