Etats-Unis : Outre Google, condamné mardi à une amende record de 2,42 milliards d'euros pour abus de position dominante, plusieurs géants américains du numérique, Microsoft, Amazon, Apple ou Intel, se sont retrouvés ces dernières années dans le collimateur de Bruxelles, certains ayant écopé de lourdes pénalités financières.
-Apple -Le 30 août 2016, la Commission européenne a estimé qu'Apple avait bénéficié d''avantages fiscaux' indus accordés par l'Irlande, et a ordonné au géant américain de rembourser à Dublin un montant record de plus de 13 milliards d'euros.
Dublin, 'en profond désaccord avec cette décision', et l'entreprise informatique ont immédiatement fait appel.
La somme phénoménale réclamée --qui n'est pas une amende-- dépasse de loin les montants qu'ont dû rembourser dans le passé les autres entreprises épinglées par Bruxelles pour des aides d'Etat illicites.
Le dernier record, 1,29 milliard d'euros, était détenu par le circuit automobile du Nürburgring en Allemagne, selon la Commission.
Le FMI a abaissé mardi ses prévisions de croissance pour les Etats-Unis pour la première fois depuis l'élection de Donald Trump, pointant les incertitudes persistantes autour de son plan de relance économique.
Zone euro : Onzième destination touristique européenne, la région Occitanie veut progresser dans ce classement d’ici quatre ans.
La Commission européenne annonce avoir infligé une amende de 2,42 milliards d'euros à Google pour violation des règles anti-trust, l'accusant d'avoir abusé de sa position dominante comme moteur de recherche.
Selon Bruxelles, le groupe américain a donné un avantage illégal à son service 'Google Shopping', en le promouvant dans les résultats de recherche et en éloignant ceux de ces concurrents.
Google doit maintenant interrompre la pratique incriminée dans les 90 jours, sous peine de faire face à des paiements de pénalités allant jusqu'à 5% du chiffre d'affaires quotidien moyen d'Alphabet, sa maison-mère.
Chine : La Chine sera capable d'atteindre son objectif de croissance pour 2017 en dépit de l'essoufflement de la conjoncture, a martelé mardi son Premier ministre, Li Keqiang, assurant que les fragilités du système financier demeurent 'sous contrôle'.
A l'heure où les autorités resserrent le crédit pour endiguer la fièvre du secteur immobilier et un endettement galopant, les marchés guettent les signaux de ralentissement de la deuxième économie mondiale, inquiets d'une possible crise financière.
Des préoccupations que Li Keqiang s'est employé à apaiser mardi lors de l'édition chinoise du Forum économique mondial, dans la métropole portuaire de Dalian (nord-est).
'Nous avons les moyens d'écarter les dangers en tous genres et de nous assurer que l'économie continuera de se développer dans une fourchette raisonnable', a-t-il lancé.
Le pays sera capable d'atteindre la croissance 'd'environ 6,5%' que le gouvernement vise pour 2017, a affirmé le Premier ministre.
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