France : En moyenne sur le premier trimestre 2016, le taux de chômage au sens du BIT est de 10,2% de la population active en France, comme au quatrième trimestre 2015.
Le taux de chômage se stabilise sous les 10% en France métropolitaine.
Suisse : 'C'est à la fois possible et souhaitable', estime sur le PlusPhilippe Villemus, auteur de 'le Patron, le football et le smicard'.
Johann Schneider-Ammann a été clair lors de sa visite ce jeudi à berne de l'entreprise EMCH Ascenseurs.
Face au franc fort et à la pénurie de personnel qualifié, les entreprises suisses doivent innover.
Russie : Le Fonds monétaire international (FMI) se montre moins pessimiste à court terme pour la Russie, qui traverse sa plus longue récession depuis l'arrivée au pouvoir de Vladimir Poutine, mais il craint une croissance faible à long terme faute de réformes visant à rendre son économie moins dépendante du pétrole.
Dans un rapport publié jeudi, le FMI attend une contraction du produit intérieur brut 'd'environ 1,5%' cette année et une croissance de 1% l'an prochain, contre respectivement -1,8% et 0,8% jusqu'alors.
Mais 'les perspectives de croissance à moyen terme restent modérées' et 'faute de réformes structurelles significatives, la croissance à long terme devrait se stabiliser autour de 1,5%', prévient le Fonds.
Le ministre russe de l'Economie, Alexeï Oulioukaïev, avait pour sa part annoncé en avril que le gouvernement russe prévoyait un recul du PIB de 0,2% cette année, avant un retour à la croissance en 2017 avec une progression du PIB de 0,8%.
Selon des statistiques officielles publiées lundi, l'économie russe s'est contractée de 1,2% sur un an au premier trimestre, soit moins fortement que prévu par le gouvernement.
La production industrielle a progressé de 0,5% sur un an en avril en Russie, sa second hausse seulement depuis début 2015 selon des statistiques officielles publiées jeudi.
Etats-Unis : Les inscriptions hebdomadaires au chômage aux Etats-Unis ont reculé comme s'y attendaient les analystes, prolongeant leur maintien sous la barre des 300'000 depuis plus de 15 mois, selon les données publiées jeudi par le département du Travail.
En données corrigées des variations saisonnières, le ministère a recensé le dépôt de 278'000 demandes d'allocations chômage, pendant la semaine close le 14 mai, soit un recul de 16'000 comme s'y attendaient les analystes.
Le ministère n'avance pas de facteur particulier pour expliquer cette baisse.
La semaine précédente les demandes d'allocations chômage étaient remontées à leur plus haut niveau depuis fin février 2015, à 294'000.
Cela fait 63 semaines que les inscriptions hebdomadaires au chômage sont sous la barre des 300'000, la plus longue période sous ce seuil depuis 1973.
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