France : Selon l'estimation provisoire réalisée fin février, les prix à la consommation ralentiraient à peine en février 2017 ( 1,2% sur un an) après une nette accélération en janvier ( 1,3% après 0,6% en décembre).
Ce léger ralentissement résulterait d'une baisse accentuée des prix des produits manufacturés, en grande partie compensée par une accélération des prix du tabac et de l'énergie ainsi que celle, plus modérée, des prix des produits alimentaires et des services.
Au quatrième trimestre 2016, la croissance du PIB de la France en volume accélère à 0,4%, après 0,2% au troisième trimestre, d'après l'Insee qui confirme donc sa première estimation.
En moyenne sur l'année, l'activité progresse de 1,1%, soit quasiment autant qu'en 2015 ( 1,2%).
Les dépenses de consommation des ménages accélèrent au quatrième trimestre ( 0,6%), de même que la formation brute de capital fixe (FBCF ; 0,4%).
Au total, la demande intérieure finale hors stocks contribue à la croissance pour 0,5 point.
Les exportations sont plus vigoureuses ( 1,3%) tandis que les importations ralentissent ( 1%).
Les prix à la consommation en france ralentiraient à peine en février 2017 ( 1,2% sur un an) après une nette accélération en janvier ( 1,3%), selon l'estimation provisoire réalisée fin février par l'Insee.
Ce léger ralentissement résulterait d'une baisse accentuée des prix des produits manufacturés, en grande partie compensée par une accélération des prix du tabac et de l'énergie ainsi que celle, plus modérée des prix des produits alimentaires et des services.
Sur un mois, les prix à la consommation se redresseraient faiblement à 0,1% après -0,2% le mois précédent, une légère hausse qui proviendrait d'un rebond du prix des services et d'une hausse des prix du tabac.
Sur un an, l'indice des prix à la consommation harmonisé ralentirait également ( 1,4% après 1,6% en janvier).
Sur un mois, il serait en légère hausse de 0,1% après -0,3% le mois précédent.
Le rythme de l'inflation a ralenti à 1,2% sur un an ce mois-ci en France, après une nette accélération en janvier à 1,3% qui faisait suite à une hausse de 0,6% en décembre, selon une première estimation .
Hors correction des jours ouvrés, la croissance du PIB s'établit à 1,2% en 2016, après 1,3% en 2015.
Les dépenses de consommation des ménages accélèrent au quatrième trimestre ( 0,6% après 0,1%), de même que la formation brute de capital fixe (FBCF; 0,4% après 0,2%).
Au total, la demande intérieure finale hors stocks est plus dynamique, contribuant davantage à la croissance: 0,5point après 0,2point.
Les exportations sont plus vigoureuses ( 1,3% après 0,8%) tandis que les importations ralentissent ( 1,0% après 2,7%).
Au total, le solde extérieur contribue légèrement à la croissance du PIB au quatrième trimestre: 0,1point après ?0,6point.
À l'inverse, les variations de stocks y contribuent négativement (?0,1point après 0,7point).
En janvier 2017, les dépenses de consommation des ménages en biens augmentent en volume* ( 0,6%), après une baisse marquée en décembre 2016 (?1,0%).
Les dépenses en énergie accélèrent vivement.
Les achats de produits alimentaires se redressent.
Le recul des achats de biens durables atténue le rebond de la consommation totale de biens.
Sur l'ensemble des marchés (marché intérieur et marchés extérieurs), les prix de production des produits industriels augmentent de 1,0% en janvier 2017 après 0,9% en décembre 2016.
Sur un an, ils accélèrent nettement: 4,2% après 1,6%.
Suisse : L'industrie suisse des machines, des équipements électriques et des métaux (MEM) a pu redresser l'an passé ses entrées de commandes et ses exportations.
Le taux de chômage dans le canton de Vaud s'est maintenu à 4,7% en 2016, comme l'année précédente.
Les scénarios d'une hausse massive liés à l'abandon du taux plancher ne se sont donc pas réalisés.
Zone euro : L’inflation est passée de 2,65 % en janvier à 2,97 % en février en Belgique.
Elle atteint ainsi son niveau le plus élevé depuis avril 2012 et confirme une tendance lourde : il faut à nouveau compter avec l’inflation.
Japon : La production industrielle au Japon a reculé de manière inattendue en janvier, pour la première fois en six mois, affectée par un ralentissement des exportations de voitures vers les Etats-Unis, montrent .
Etats-Unis : Le milliardaire WilburRoss, désigné par Donald Trump à la tête du département du Commerce, a été largement confirmé dans ses nouvelles fonctions lundi par le Sénat, où il a bénéficié d'un fort soutien desdémocrates.
Wilbur Ross a obtenu les voix de 72 sénateurs, contre 27sénateurs opposés à sa nomination.
Il y a dix jours, sur une question de procédure, lessénateurs avaient voté par 66 voix contre 31 en sa faveur, unscore qui démontrait déjà qu'un grand nombre d'élus démocratessoutenaient sa nomination.
Wilbur Ross pourra désormais s'atteler à la mission que luia confiée le 45e président des Etats-Unis en engageant unerévision des relations commerciales avec la Chine et le Mexique.
Durant la campagne, Ross a participé à l'élaboration despropositions de Trump en matière commerciale, notamment sescritiques sur l'Accord de libre-échange d'Amérique du Nord(Alena) avec le Canada et le Mexique, en vigueur depuis 1994, etsur l'entrée de la Chine au sein de l'Organisation mondiale duCommerce (OMC) en 2001.
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