Créé en 1953, le Groupe comptait plus de 163 milliards de francs suisses d'actifs sous gestion au 31 décembre 2023, 2 600 collaborateurs et 28 implantations dans le monde.
Elections américaines - commentaire des équipes Edmond de Rothschild Asset Management , Par Michaël Nizard, responsable multi asset et overlay et Nabil Milali, gérant multi asset et overlay.
Bien que tous les Etats américains n'aient pas encore rendu leur verdict, les résultats à ce stade ne laissent guère de doute sur l'identité du 47ème président de l'Histoire des Etats-Unis qui sera bien D. Trump, comme l'ont d'ores et déjà annoncé plusieurs agences de presse américaines. Il dispose en effet de suffisamment d'avance dans les Etats-clés pour s'assurer la majorité de 270 sièges au Collège électoral, fort de ses victoires décisives en Pennsylvanie, Géorgie et Caroline du Nord. D. Trump a notamment bénéficié de la crise de confiance des américains quant à la situation économique de leur pays, plus de 50% d'entre eux ayant indiqué qu'il s'agissait de leur principal sujet de préoccupation selon les sondages en sortie de bureaux de vote.
Les républicains s'assurent de surcroît le contrôle du Sénat, ce qui facilitera la nomination des juges fédéraux et des responsables d'agences gouvernementales, y compris éventuellement celle du successeur de J. Powell à la tête de la Fed en 2026. En revanche, il est encore trop tôt pour identifier le parti vainqueur à la Chambre des Représentants, les candidats démocrates faisant preuve jusqu'ici d'une plus grande résilience par rapport aux scores de K. Harris dans leurs états respectifs.
L'incertitude pourrait d'ailleurs durer plusieurs jours si la majorité doit être décidée par l'issue des élections à l'Ouest (Californie, Arizona) dans la mesure où certains Etats acceptent les bulletins de vote par correspondance qui arrivent jusqu'à 4 jours après l'élection. Les investisseurs risquent donc de rester dans l'attente de ces résultats avant d'accentuer leurs positions sur les marchés financiers compte tenu de l'importance cruciale de cet enjeu pour la mise en œuvre du programme de D. Trump.
Le contrôle des deux Chambres du Congrès conditionne en effet l'avenir de sa réforme fiscale, laquelle doit abaisser le taux de l'impôt sur les sociétés de 21 à 15% et dont l'anticipation explique en grande partie la hausse des marchés d'actions américains aujourd'hui. D. Trump devrait toutefois a minima pérenniser au-delà de 2025 les réductions fiscales pour les ménages et les entreprises actées en 2017.
Deux scénarios restent donc sur la table à ce stade :
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