Les chiffres des performances citées ont trait aux années écoulées. Les performances passées ne sont pas un indicateur fiable des performances futures. Ces placements permettent de profiter du potentiel de performance des marchés financiers en contrepartie d'une certaine prise de risque. Le capital investi et les performances ne sont pas garantis et il existe un risque de perte en capital. Source des indices cités : www.bloomberg.com
L'été financier a été plutôt calme et positif. Les indices boursiers américains ont à nouveau battu des records historiques. À Paris, l'indice CAC 40 a tutoyé ponctuellement son plus haut de septembre 2000. Les marchés sont donc, une fois de plus, très résilients, dopés par la reprise économique et des taux étonnamment bas en dépit de quelques tensions inflationnistes… La tendance positive de fond paraît donc bien établie. Mais elle pourrait toutefois être perturbée par trois sujets majeurs : les politiques monétaires, la Chine et, encore une fois, la Covid-19…
Contexte et analyse
Les résultats des entreprises publiés cet été ont largement dépassé les prévisions des analystes et témoignent d'une reprise économique très robuste, résultante des retards de consommation et d'investissement pris durant les périodes de confinement. De surcroît, les discours des chefs d'entreprises ont été globalement très optimistes, en dépit de la multiplication de tensions sur les coûts de production, voire de pénuries, ce qui fait monter les prix, et donc l'inflation. Ce contexte est très compréhensible après des mois d'arrêt économique. Ce qui l'est moins, c'est la persistance de taux d'intérêt aussi bas. Certes nous avons compris, depuis cette crise, que les Banques Centrales ont pris la main sur la courbe des taux, au service du financement d'États encore plus endettés après les soutiens budgétaires énormes et nécessaires consentis. Les derniers mouvements sont quand même étonnants : les taux d'intérêt obligataires à long terme se sont à nouveau détendus de l'ordre de 10 points de base cet été et les rendements se stabilisent autour de 1,30 % sur le T-Notes US 10 ans et - 0,40 % sur le Bund allemand correspondant. Est-ce le signe annonciateur de temps économiques moins favorables ? En d'autres termes, le pic du momentum positif a-t-il été atteint ?
Comment et quand va-t-on sortir des soutiens monétaires fournis par les Banques Centrales ?
Les marchés redoutent ce moment tant il est clair que les politiques actuelles favorisent largement l'expansion du prix des actifs.
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