Auris Gestion est organisée en deux pôles d'activité bien distincts et séparés par une muraille de Chine : le pôle Gestion Privée d'un côté et le Pôle Asset Management (au service, dans le cadre d'une relation de travail BtoB, des CGP/Family Offices et institutionnels) de l'autre. Si les membres d'un pôle peuvent bien évidemment échanger avec ceux de l'autre pôle sur des idées d'investissement et plus généralement sur la macroéconomie et les conditions de marchés, une stricte séparation des activités de chaque pôle est respectée afin de préserver une totale confidentialité (notamment sur la clientèle accompagnée en direct ou encore sur celle de nos partenaires CGP/Family Offices). Notre dispositif déontologique et notre organisation interne permettent ainsi d'assurer un total cloisonnement entre les deux activités et ce afin d'éviter tout conflit d'intérêts.
Seul le marché pour calmer Donald Trump ? par Thomas Giudici Responsable de la gestion obligataire chez AURIS GESTION.
Sale temps pour les marchés financiers en ce début d'année. Peut-être encore un peu endormis par les fêtes de fin d'année après un très bon cru 2024, le réveil des investisseurs après ces premiers jours de bourse est des plus compliqué. Il faut dire que les déclarations successives de Donald Trump exprimant ses ambitions territoriales sur le Canada, le Groenland ou bien encore le canal du Panama ont pu faire penser à un mauvais rêve tant elles paraissent surréalistes et à même de déstabiliser encore plus le faible équilibre mondial.
Cependant, il n'y a là rien de bien nouveau dans la rhétorique du futur Président américain, dont le duo avec Elon Musk semble bien parti pour s'affranchir de toutes les conventions en place. Si rien ne semble donc l'arrêter, le juge de paix pourrait venir des marchés financiers.
En effet, alors que Donald Trump s'est souvent servi de la performance des marchés financiers pour légitimer son premier mandat, il n'est pas certain que des taux 10 ans à 5%, un dollar fort, voire une inflation trop élevée, étaient dans ses plans. On se souviendra d'ailleurs qu'après s'être fortement apprécié au moment de sa première élection, le dollar avait ensuite corrigé à partir de sa prise de fonction et des déclarations sur le « dollar trop fort » (cf. graphique de la semaine).
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