Au menu de la presse française ce matin :
LE MONDE
- Les emplois verts sont-ils les « sales boulots » de demain ? .Les salariés de l'économie verte, davantage exposés à des facteurs de pénibilité, cumulent de faibles salaires avec des conditions de travail qui s'aggravent.
- Immobilier : la reprise va-t-elle se confirmer ? .Une légère hausse des prix semble se profiler sur une partie du territoire. Mais trop d'incertitudes subsistent pour que l'on puisse affirmer que la crise est derrière nous.
- Que fait-on du travail ? : « Il est essentiel d'associer les salariés aux décisions sur le travail, y compris sa finalité, mais on n'est pas dans la cogestion » .Le directeur général de la MAIF, Pascal Demurger, répond aux propositions des deux économistes Thomas Coutrot et Coralie Perez pour améliorer le travail en redonnant aux salariés le pouvoir de s'exprimer sur leur travail.
- « Les déboires du nucléaire depuis les années 1990 reflètent en fait sa “normalisation” » .Invoquer « la perte d'ambition et de savoir-faire » du nucléaire français par rapport à un supposé âge d'or des années 1970, c'est oublier les causes réelles de la crise que traverse le secteur, rappelle Jean-Baptiste Fressoz dans sa chronique.
- Immobilier : vers la fin de la crise ? .Après des mois de marasme, les professionnels ressentent un frémissement, mais cette tendance devra être confirmée. Le logement neuf et l'investissement locatif sont toujours en difficulté.
- L'industrie automobile se divise sur les normes environnementales .Abaissement du plafond d'émissions de COâ‚‚ des voitures, prise en compte de l'empreinte carbone des batteries… Les règles européennes mises en place pour organiser la transition écologique du secteur agitent les constructeurs automobiles. Mais tous n'adoptent pas la même stratégie.
- Thales Alenia Space veut supprimer 980 postes en France, les salariés se mobilisent .Rassemblés mardi 17 septembre sur les sites industriels de Toulouse et de Cannes, des centaines de salariés reprochent au fabricant de satellites de tailler dans ses effectifs français.
- Autoroute A69 : la gendarmerie dans les arbres pour décrocher les derniers « écureuils » .« Le but, c'est d'abattre tous les arbres qui sont sur le tracé de l'autoroute », a résumé mardi le colonel Stéphane Dallongeville, chef des opérations pour le groupement de Haute-Garonne.
- Le collectif Vignobles Gabriel & Co assure la défense de vignerons bordelais face aux puissants négociants .Ce collectif au fonctionnement hors norme permet à un groupe de vignerons bordelais d'unir leurs forces au service de leurs vins.
- Radio Classique creuse son sillon « économique, musical, culturel » .La radio libérale, détenue par Bernard Arnault, modifie ses programmes à la marge, satisfaite d'accueillir un million d'auditeurs chaque jour.
- En France, l'éolien en mer attend encore son rythme de croisière .Le pays, qui souhaite atteindre 45 gigawatts (GW) de puissance installée d'ici à 2050, contre 1,5 GW aujourd'hui, compte simplifier les procédures et limiter les risques de contentieux.
- Applications de rencontre : « Les critères de sélection pour trouver l'âme sœur en ligne ont changé, creusant les inégalités » .D'après une étude d'économistes pour la Réserve fédérale de Saint-Louis, le choix d'un partenaire a tendance aujourd'hui à se faire dans sa classe sociale ou celle du dessus, explique Philippe Escande, éditorialiste économique au « Monde ».
- « Mères solos, le combat invisible » : portrait saisissant d'une France monoparentale .La journaliste Johanna Luyssen donne un visage et une appartenance collective à ces plus de 1,5 million de femmes qui élèvent seules leurs enfants.
- Poiscaille, la start-up valorisant la pêche éthique, cumule les difficultés .Fondée en 2015, l'entreprise en ligne, qui s'appuie sur un réseau de magasins partenaires recevant ses livraisons de poisson, souffre entre autres de la hausse du coût du transport.
- Tourisme : les Français sont moins partis à l'étranger cet été .Espagne, Grèce et Tunisie restent les destinations les plus cotées chez les voyagistes, mais sont en recul. L'Italie, en revanche, attire un nombre croissant de Français.
- De la salle des machines de l'Etat jusqu'au manageur .Le juriste Jean-Emmanuel Ray analyse, dans sa chronique, le dernier ouvrage de Jean-Denis Combrexelle, dans lequel ce dernier explique que le droit a pris une importance démesurée dans l'action administrative, à coups de normes proliférantes, masquant souvent une forme de conformisme et de refus culturel du changement. Un constat qui vaut pour les entreprises, mais aussi pour les manageurs.
- Budget 2025 : « La question n'est pas de savoir s'il faut réduire le déficit, mais comment le faire sans peser trop fortement sur la croissance » .Les économistes Adrien Auclert, Thomas Philippon et Xavier Ragot prônent, dans une tribune au « Monde », une baisse des dépenses publiques de 20 milliards dès l'an prochain, sans exclure des hausses d'impôts.
- Locations meublées : comment seront imposés les loyers touchés en 2024 ? .La fiscalité des revenus immobiliers de 2024 est incertaine pour certains propriétaires en raison d'une « erreur » commise par l'exécutif dans la dernière loi de finances et des incertitudes issues de la dissolution de l'Assemblée.
- Budget 2025 : « La contradiction entre l'économique et le politique est flagrante » .Que ce soit sous la pression des Français ou celle des marchés, le nouveau gouvernement ne pourra pas continuer impunément dans la voie tracée par Emmanuel Macron, estime l'économiste Robert Boyer dans une tribune au « Monde ».
- De Revolut à N26, les banques gratuites au défi de faire payer leurs clients .Les nouveaux acteurs du secteur poursuivent leur essor en France. Avec un double défi : convaincre leurs clients d'en faire leur principale banque et parvenir à une rentabilité durable.
.Source : Le monde
LES ECHOS
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Source : Les echos
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