Pétrole : Les cours du pétrole rebondissaient lundi en Asie à la faveur d'un affaiblissement du dollar, et sans lien avec la décision de l'Arabie et de ses Alliés de rompre avec le Qatar, accusé de soutenir le 'terrorisme'.
Les prix du pétrole se stabilisaient lundi en cours d'échanges européens après que l'Arabie saoudite et ses alliés ont rompu leurs relations avec le Qatar.
Les cours du pétrole ont ouvert en baisse lundi à New York, le marché surveillant les tensions dans le Golfe où l'Arabie saoudite et ses alliés ont rompu leurs relations avec le Qatar.
Vers 13H10 GMT, le prix du baril de 'light sweet crude' (WTI), référence américaine du brut, perdait 45 cents à 47,21 dollars sur le contrat pour livraison en juillet au New York Mercantile Exchange (Nymex).
'Les craintes d'une éventuelle rupture d'approvisionnement laissent la place à une potentielle mésentente qui pourrait bloquer la coopération entre plusieurs producteurs', a commenté John Kilduff de Again Capital.
L'Arabie saoudite mais aussi Bahreïn ou les Emirats arabes unis, tous producteurs de pétrole, ont rompu leurs relations diplomatiques avec le Qatar, qu'ils accusent de 'soutien au terrorisme'.
Ce séisme politique dans la région est donc dans l'immédiat interprété à la lueur des conséquences éventuelles qu'il pourrait avoir sur la réduction de la production engagée par ces pays, qu'ils soient membres de l'Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep), comme l'Arabie saoudite, le Qatar (qui ne produit qu'environ 1% du brut mondial et 2% des extractions du cartel) et les Emirats, ou qu'ils se soient joints à cet effort comme Bahreïn.
Gaz : Malgré le soutien apporté par Donald Trump, le déclin du charbon semble inévitable car le gaz de schiste remplace de plus en plus le charbon.
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